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6 juin 2008 5 06 /06 /juin /2008 23:00
Actualité décidément brûlante




 

 


"Madagascar 2 : la grande évasion" : sortie le 3 décembre.

Alex le Lion, Marty le Zèbre, Melman la Girafe et Gloria l'Hippopotame se retrouvent dans la brousse africaine. Alex va rencontrer sa famille, restée à l'état sauvage.
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6 juin 2008 5 06 /06 /juin /2008 14:25


Ridley Scott et la science-fiction ce fut une histoire d'amour courte mais intense qui donna vie à deux chefs-d'œuvre intemporels, Alien, le huitième passager et Blade Runner. Depuis le réalisateur ne s'était plus essayé au genre, à notre plus grand désarroi. « S'était » car bientôt – dès qu'il aura conclu le tournage de son Nottingham (sa version de Robin des Bois avec Russell Crowe) – Ridley Scott s'attaquera à l'adaptation d'un roman de sci-fi dont il a tu le nom.


« J'ai attendu un livre pendant 20 ans et maintenant je l'ai trouvé. Je ne vais pas vous dire lequel c'est mais le scénario sera en toute probabilité écrit dès le mois prochain. Ce sera réellement mon projet suivant après "Nottingham" que je suis en train de faire actuellement en Angleterre ».

Beaucoup de mystères et peu d'informations donc, ce qui nous laissent tout fébrile d'impatience et d'excitation. Bien évidemment nous ne manquerons de vous tenir informer dès que d'amples nouvelles se feront connaître. (cinema-france.com)




L’ajout d’un second film faisant le lien entre "Bilbo" et "Le Seigneur des Anneaux" apporte la possibilité d’un retour du sorcier Saroumane. Christopher Lee, du haut de ses 86 ans, est une véritable encyclopédie de l’œuvre de Tolkien. Il a donc évoqué le sujet avec enthousiasme.

 

« J’ai lu ces livres de très nombreuses fois. A l’origine, Saramoune le Blanc et les autres sorciers, les Istari, étaient immortels. Il y en avait cinq, dont deux qui n’interviennent jamais, je connais leurs noms mais ils ne sont pas dans l’œuvre. Les trois qui sont mentionnés sont Saroumane le Blanc, Gandalf le Gris et Radagast le Brun, que l’on ne voit jamais. En clair, il n’y a que deux sorciers. »

 

« Ils ont vécu pendant des milliers d’années, ils ont été envoyés sur Terre et ils sont quasi immortels. Quand tout a commencé, Saroumane était le plus noble, le plus brave, le plus juste d’entre eux, il était le premier. Mais à un moment, et ce n’est jamais vraiment expliqué, il a changé. C’est probablement le Palantir (la boule de cristal des sorciers) qui a donné l’impression à Saroumane qu’il pouvait faire la même chose que Sauron. Saroumane veut devenir le seigneur des anneaux lui-même. »

 

« Je serais intéressé de savoir comme ce passage du Bien vers le Mal s’est effectué. Oui, bien sûr, je reprendrais le rôle si on me le demande. » (ecranlarge.com)


 


 

Le metteur en scène culte de Blow Out et Phantom of Paradise, Brian De Palma, n'a pas connu le plébiscite du public depuis son Mission : Impossible, nous ramenant en cette douce année de 1996. Le vent soufflera peut être de nouveau avec son remake de L'Etrangleur de Boston (1968) de Richard Fleischer, dont il se chargera bientôt.

Pour ceux qui ignorent de quoi il retourne, il est question de l'un des faits divers les plus troublants des années 60, où la ville d'est américaine connaît une vague de meurtres féminins (treize en tout) à fortes connotations sexuelles. Un suspect a fini par être arrêté,
Albert DeSalvo, un père de famille d'une trentaine d'années sans histoires qui avoua les faits.

L'affaire continue aujourd'hui de susciter le doute et la controverse, DeSalvo n'ayant jamais été officiellement déclaré coupable, faute à son décès prématuré en prison (poignardé par un autre détenu). L'occasion pour le maître du suspense de revoir et corriger cette sordide et obscure histoire. Le scénario, signé Alan Rosen, est adapté du roman de Susan Kelly :The Boston Stranglers : The Public Conviction of Albert DeSalvo and the True Story of Eleven Shocking Murders.

En attendant on vous invite à voir ou revoir l'original, connu pour son utilisation ingénieuse du split-screen et de la performance glaçante de
Tony Curtis. (cinema-france.com)

 



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6 juin 2008 5 06 /06 /juin /2008 14:16


 

 

 

 


"Trans-siberian" : sortie le 1er août (US)

Réalisateur :
Brad Anderson.

Acteurs :
Kate Mara, Emily Mortimer, Eduardo Noriega, Woody Harrelson, Ben Kingsley, Samantha Morthon, Thomas Kretschmann.

Genre : thriller.

Résumé : Un couple de touristes américains embarqué à bord du trans-sibérien fait la connaissance d'un autre couple. A l'intérieur du train, les meurtres s'enchaînent...
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6 juin 2008 5 06 /06 /juin /2008 08:11
"Madagascar 2 : la grande évasion" commence à se dévoiler. Demain je vous présenterai l'affiche du film.





















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5 juin 2008 4 05 /06 /juin /2008 19:19


Après "
JCVD" je suis vite redescendu sur terre. J'ai vu le navrant "Maradona par Kusturica". Un long métrage mal foutu, désorganisé, sans grand intérêt. Quelle mouche m'a piqué d'aller voir ce documentaire.

Diego Armando Maradona fut pendant près de dix ans l'un des meilleurs footballeurs de notre temps. Son génie créatif a ébloui des millions de fans à travers le monde. Sa "main de Dieu" reste l'une des images les plus vues au cours du 20ème siècle.

Mais l'homme a raté sa sortie ou devrais je dire ses sorties. Alcool, drogue sont devenus ses compagnons d'infortune. A l'époque où il jouait à
Naples en italie, Maradona a fréquenté le crime organisé. L'homme Maradona a tué le sportif. Ainsi Diego Armando Maradona reste un homme plein de mystères, de paradoxes et de contradictions.

Je me disais, bien naïvement, en allant voir ce film que
Kusturica lèverait une partie du voile qui entoure le footballeur argentin. Sur ce plan là c'est le néant total. Le cinéaste, agaçant par son omniprésence injustifiée, se contente d'effleurer la surface des choses. Son traitement du dossier "Maradona" reste superficiel, partiel et surtout bordélique.

Car c'est bien l'impression première qui se dégage de "Maradona par Kusturica". Aucune ligne directrice claire, aucune dominante. Le long métrage ressemble à un assemblage de morceaux hétéroclites. Le patcwork est mal assorti. Le plus grave défaut est que l'oeuvre manque sérieusement d'âme. Kusturica, dont le talent n'est plus à prouver, a réalisé un film sans moelle, sans vie.

Nous avons le droit à un enchainement de conversations longues et ennuyeuses, à des ralentis des buts du joueur argentin, à des moments vraiment inintéressants.

Sur le fond les propos de Maradona frisent la dangerosité. Dans la bouche du "Pibe de oro" Fidel Castro est un type sympa alors que nous savons tous que le peuple cubain vit dans le dénuement total (pour ne pas dire dans la misère) et l'oppression; les anglais sont de salauds (la guerre des malouines) etc...

Kusturica se contente d'enregistrer sons et images sans objection critique. Sa non intervention fait tâche. Mais bon on peut se dire que Maradona, ex footballeur et ex-cocaïnomane n'est peut-être pas le mieux placé pour parler de politique internationale et donner des bons ou des mauvais points aux dirigeants de ce monde et aux autres pays.

Les deux seuls moments vraiment intéressants du film sont la prestation à la guitare de
Manu Chao (dernière scène du long métrage, voir ci-dessous) et le générique de fin. A ce moment mon calvaire a pris fin.

Un documentaire inutile, destructuré, vide de sens. Un film qui permet surtout à Kusturica de se mettre lui-même en scène. Comble de l'ironie, il se permet de faire de la publicité (extraits de ses autres films intercalés ici ou là). Le cinéaste en fait des tonnes et la montagne accouche d'une souris.

L'horreur absolue.

A oublier très vite.

Manu Chao "La vida tombola" (extrait du film)

 

 

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5 juin 2008 4 05 /06 /juin /2008 15:23


Jean-Claude Van Damme
est un comédien en perte de vitesse qui joue dans des longs métrages de seconde zone. Pire il vient même de se faire remplacer dans une nouvelle production par Steven Seagal car ce dernier a promis de couper sa queue de cheval pour avoir le rôle, un comble !!!.

Jean-Claude Van Damme n'a plus d'argent. Il signe des chèques en bois. Sur le plan familial, il vient de perdre la garde de sa fille après un procès long et éprouvant. Las, il quitte les "States" pour retourner en Belgique quelques jours. Par tous les moyens il tente de se procurer un peu de "cash". Arrivé dans une banlieue obscure de Bruxelles qui l'a vu naître, Jean-Claude Van Damme entre dans un bureau de poste. Et soudain c'est le drame....

Ainsi commence "
JCVD" de Mabrouk el Mechri. Je ne vous en dirai pas plus sur l'histoire à proprement parlé car le reste du film est à cent lieues des bandes-anonces que nous avons eu le plaisir de voir dans les semaines passées. A vous de le découvrir. Mais une chose est sûre : "JCVD" est une merveille de cinéma en cette année 2008. Un long métrage drôle, touchant en forme de pied de nez à tous les détracteurs de la star belge.

Adolescent j'étais un fan de Jean-Claude Van Damme. Souvent il a sauvé des films de l'ornière grâce à son professionnalisme, son implication et son sens artistique. Ensuite il s'est un peu perdu dans des chemins de côté. Mais je ne lui ai jamais tourné le dos. Je vois avec autant de plaisir les longs métrages qui ont fait de lui une icône internationale.

L'acteur a eu le tort (ou est ce la faute des médias ?) de se créer un double télévisuel parfois drôle, souvent pathétique. Un peu comme dans le cinéma ou la littérature fantastiques, la créature a échappé à son maître.

Et le Jean-Claude Van Damme des plateaux de télévision est devenu un objet de moqueries, de railleries en tout genre. On l'invitait (et on l'invite encore) car les rédacteurs sont persuadés que l'acteur fera à coup sûr son show avec une ou deux phrases Abracadabrantesques.

"JCVD" est avant tout un film de fiction (une histoire, des personnages, des situations) mais qui permet aussi au "vrai" Jean-Claude Van Damme de se raconter. Dans un film classique l'acteur s'efface et le personnage prend vie. Dans "JCVD", le personnage n'arrive jamais véritablement à acquérir sa propre indépendance car l'homme Jean-Claude Van Damme reste constamment au premier plan. Cette construction est troublante. Qui nous parle au juste ?

Comme pas mal de spectateurs j'ai remarqué qu'il y avait un passage fort émouvant dans "JCVD". Une scène où le temps suspend son vol. Un pause dans le film où Jean-Claude Van Damme, seul face à une caméra, fait tomber toutes les barrières et parle de lui sans pudeur. L'impression est que pendant quelques minutes nous sortons du long métrage. Ce n'est plus l'acteur ou le double télévisuel qui joue mais l'homme qui fait le bilan de sa vie. Sans tabou ni retenue, la confession est pathétique, touchante. On ressent de la lassitude et de la tristesse dans les propos. L'acteur s'y livre comme jamais un acteur n'a pu le faire par le passé. Un vrai moment de cinéma. Jean-Claude Van Damme, héros des films d'action, défendant la veuve et l'orphelin, n'a jamais été aussi bon.

La réalisation de Mabrouk el Mechri est sobre, pertinente et impose une construction à la fois originale et efficace. Les allers-retours entre présent et passé sont nombreux mais placés avec justesse. La multitude de points de vue permet de sortir du carquant de la sacro-sainte subjectivité.

Parmi tous les autres acteurs se détachent l'excellent
François Damiens, le toujours juste Zinedine Soualem et le remarquable Karim Belkhadra. Mais la vedette reste bien sûr Jean-Claude Van Dammme. A la fois sujet et objet de ce long métrage, le comédien belge livre une prestation originale, grandiose, décalée. Le rôle lui donne l'occasion aussi d'exister par lui-même. "JCVD" lui permet de couper l'herbe sous les pieds de ses détracteurs. Il se moque de lui-même en dévoilant un nouvel aspect de son talent.

"JCVD" était un pari risqué. Faire un long métrage avec l'une des stars des films d'action sans aucune explosion ou mort toutes les trois minutes était une entreprise hasardeuse. Mais "JCVD" est une réussite totale. Le talent de Mabrouk el Mechri, combinée à une implication totale de Jean-Clause Van Damme, permet au film d'acquérir ses galons de noblesse. "JCVD" est à coup sûr une oeuvre réussie qui mérite votre attention.

Ps : je vais dans un cinéma multiplex de 16 salles. Le meilleur démarrage a été effectué hier par..."JCVD".

Longue vie à ce long métrage.
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5 juin 2008 4 05 /06 /juin /2008 13:43



Au hasard des commentaires que vous postez je découvre de nouveaux espaces culturels qui me plaisent peu ou prou. Et parfois je tombe sur un site qui me ravit littéralement. Dernièrement j'ai eu la chance de découvrir le site "
Zeblug" édité par Lya et cela a été un vrai coup de coeur.

 J'ai tout de suite accroché sur le design très épuré et sur l'ambiance du blog. La bannière me comble de joie, je la trouve géniale. Et bizarrement, sans que je puisse l'expliquer, cette page a un effet apaisant à la manière d'une philosophie orientale.

Le blog de Lya n'est pas axé sur une dominante comme le mien avec le cinéma, mais s'articule plutôt autour de coups de coeur (cinéma, contes et légendes, cuisine...) bien particuliers. J'apprécie la diversité des articles et la passion qu'elle y met.

J'espère que son blog continuera dans le temps à se développer.

Donc bienvenue à toi et longue vie à ton blog.
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4 juin 2008 3 04 /06 /juin /2008 23:19




 

 



Pour mémoire : la bande annonce n°1

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4 juin 2008 3 04 /06 /juin /2008 18:22


Dans chaque nouveau volet de la saga "Jason Bourne" l'action est montée d'un cran à chaque fois. Parmi les nombreux moments forts de "La vengeance dans la peau" (et ils sont nombreux) se distingue une poursuite automobile phénoménale dans les rues de New York.

C'est l'un des sommets de la trilogie. Maîtrise, efficacité, suspense sont les mots qui qualifient le mieux cette incroyable séquence. Un pur régal pour des yeux de cinéphile.

4 minutes qui ont demandé près de 6 semaines de préparation. Pour des raisons de sécurité les véhicules n'ont pas été autorisé à dépasser la vitesse de 35 miles par heure (57 km/h) mais comme le cinéma est un univers magique, on croirait que ces bolides roulent à plein tube.

Merci à
   Paul Greengrass, aux équipes techniques et aux cascadeurs.

Attachez votre ceinture et c'est parti...

 



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4 juin 2008 3 04 /06 /juin /2008 13:04
Difficle de résister à la trogne de ce peit robot bien suympathique.




 

 


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