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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 15:31

MAISON-BOUT-DE-LA-RUE-3D_BD-copie.png

 

 

Mardi 12 février 2013 à 19h30 je me suis rendu dans les locaux de M6 (la classe !!!!),à l'initiative de l'équipe de cinetrafic, pour assister à une projection privée à l’occasion de la sortie le 20 février prochain en Blu-Ray, DVD et VOD aux éditions M6 Vidéo du long métrage "La maison au bout de la rue" mis en scène par Mark Tonderai.  

 

Je remercie toutes les personnes qui furent à l’origine de cet agréable moment de cinéma. Effectivement j’ai passé une excellente soirée. "La maison au bout de la rue" est une œuvre qui aurait certainement méritée une sortie cinéma plus conséquente.

 

A l’affiche de ce film d’horreur trônent l’une des icônes contemporaine du septième art américain, Jennifer Lawrence, dont la côte n’a de cesse de progresser à Hollywood, deux valeurs sûres, Elisabeth Shue et Gil Bellows, et un "nouveau venu", Max Thieriot, dont le visage mi ange mi démon ne devrait pas laisser insensibles les producteurs en mal d’étoiles en devenir.

 

L’une de mes rares critiques à propos de ce long métrage concerne le titre du film lui-même. Parfois par le passé j’ai jeté la pierre aux distributeurs français qui se permettaient d’attribuer des appellations fantaisistes pour faire "comme si…"

 

Là je me dois d’accabler les producteurs nord-américains directement car le titre français est l’exacte traduction de "House at the End of the Street". Cette fois ci cette maison n’est pas à côté d’un cimetière ou d’un autre édifice, elle est au bout de la rue. Racoleur à souhait et bien dommage. Un manque d’audace.

 

J’aurais largement préféré que ce long métrage s’intitule "Carrie Anne" bien plus mystérieux et équivoque.

 

Cela n’enlève rien cependant aux vertus intrinsèques de l’ensemble.

 

La première qualité du film est de ne pas en faire des tonnes sur Jennifer Lawrence. Nous savons tous que la jeune actrice est promise à un avenir doré (au sens propre comme au sens figuré). Le metteur en scène est assez astucieux pour l’immerger dans un contexte trouble et inquiétant au lieu de braquer ses caméras en permanence sur sa jolie plastique. 

 

DF-2803.jpg

 

"La maison au bout de la rue" nous immerge dans une ambiance particulière et nous plonge au cœur d’un thriller d’horreur efficace et maîtrisé.

 

Je dis souvent que l’approche d’un film d’horreur et l’angoisse (éventuellement) ressentie sont une question de lieu et de moment. Regarder un film de genre sur l’écran 17’’ de son pc avec victuailles et téléphone à proximité ou assister à une projection dans une salle complètement obscure sont deux faits radicalement et diamétralement opposés.

 

Annoncer crânement : "ce film ne me fait pas peur" est à relativiser. Histoire de contexte…

 

Ainsi la construction mise en place par le réalisateur dans "La maison au bout de la rue" fonctionne et le spectateur sent que l’étau de la peur se resserre au fil des minutes.

 

La trame scénaristique (un meurtre commis dans le passé, de nouveaux voisins, une plongée dans l’horreur) est élémentaire, claire mais très efficace. Parfois des metteurs en scène se perdent cours de route à force de vouloir absolument créer artificiellement des intrigues secondaires, quitte à plomber l’ensemble. Mark Tonderai vise la simplicité de bout en bout et s’en tire avec les honneurs. Car il emmène le spectateur en terrain inconnu.

 

Le seul élément superflu est à mon sens la présence du personnage du beau gosse, star de son lycée et bienfaiteur du tiers monde à ses heures. Je me suis demandé comment le metteur en scène s’en sortirait avec un tel protagoniste. Ses apparitions et sa sortie de scène si j’ose dire manquent de percussion.

 

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En habitué du genre j’ai levé le voile au deux tiers du film sur le pot aux roses mais je suis persuadé que les néophytes vont tomber à la renverse. Le retournement de situation est cinglant.

 

Je ne suis pas metteur en scène ni scénariste, seulement l’humble chroniqueur de ces quelques lignes mais je me dis depuis hier soir que l’entame du long métrage aurait pu être certainement plus percutante. Le massacre initial est plus suggéré que montré. Un démarrage en forme d’ellipse.

 

C’est l’un des travers du cinéma contemporain (qu’il soit de genre ou pas) : évoquer un événement plutôt que de nous mettre la tête dedans. Si certains longs métrages d’horreur des années 70 ont traversé sans peine les décennies c’est qu’ils envoyaient du lourd pendant 90 ou 120 minutes. "La maison au bout de la rue" ne déroge pas à la règle.

 

Le spectateur de genre aime quand le sang gicle. Nous bondissons toutes et tous quand les portes claques, quand un bruit nous fait sursauter mais nous adorons aussi et surtout la surenchère morbide et l’hémoglobine.

 

Le potentiel est là mais l’essai n’est pas totalement transformé. Il y a très certainement en toile de fond des histoires de classement et de public auquel est destiné l’œuvre. En France comme aux Etats-Unis les autorités qui réglementent notre passion demeurent conservatrices et frileuses. La prise de risques de certains metteurs en scène talentueux n’est pas toujours récompensée.

 

Le film est à gratifier d’une réalisation qui ne s’encombre pas de fioritures. L’enchaînement des séquences est on ne peut plus fluide. L’absence d’effets inutiles (musique angoissante qui nous dit où avoir peur, grincements de plancher…) rend "La maison au bout de la rue" lisible à plus d’un titre.

 

Le film rebondit car Mark Tonderai nous surprend par petites touches là où on ne s’y attend pas. La découverte des restes jetés dans une poubelle, un regard fait basculer le spectateur dans une autre dimension, celle de l’angoisse au moment où le final s’emballe et que tombe le masque.

 

La photographie (des paysages forestiers, les séquences nocturnes) est plus qu’agréable. La bande son, discrète, colle au plus près à l’ensemble.

 

Jennifer Lawrence interprète son personnage d’adolescente avec une certaine maîtrise. Les cinéphiles ont souvent raillé par le passé le fait, récurrent, que des trentenaires jouaient des lycéens. On finissait par ne plus y croire.

 

L’apparence juvénile de Jennifer Lawrence, son âge, 23 ans, rendent crédible sa prestation et proche de son personnage. On adhère d’emblée.

 

Elisabeth Shue interprète son rôle de mère angoissée, un rien possessive, avec une classe toute naturelle. Pour le public français elle restera l’éternelle fiancée de Ralph "Karate Kid" Macchio. C’est toujours un bonheur de l’apercevoir sur grand écran.

 

Gil Bellows est une figure incontournable du grand et du petit écran. Son visage si particulier fait de lui un acteur qui marque à chaque fois les esprits.

 

La vraie révélation du long métrage est Max Thieriot . Le spectateur passe par tous les sentiments à son égard. On apprécie son charisme, on plaint la situation de son personnage puis on….enfin bref.

 

Malgré quelques légers défauts le propos de "La maison au bout de la rue" touche le public. On ressent la peur qui s’insinue en nous au fil des minutes. "La maison au bout de la rue" nous emmène bien loin de nos certitudes scénaristiques et cinématographiques. Il est bien rare quand une histoire prend en défaut le public. Le cinéma s’oriente depuis quelques temps dans une nouvelle direction : briser nos credo, nos valeurs refuges confortables.

 

La remise en cause codes cinématographiques admis depuis des lustres est à l’origine de productions, efficaces, telles que "La maison au bout de la rue".

 

Et ne restez pas au bout de la rue, pénétrez dans cette maison…


Découvrez d’autres films sur Cinetrafic dans des catégories aussi diverses et variées que film d’horreur 2012 ainsi que film 2013.

 

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11 avril 2012 3 11 /04 /avril /2012 18:00

Petit reportage en anglais (désolé) sur la restauration de l'un des plus grands classiques du 7ème art à l'occasion de sa sortie en Blu-Ray le 14 août prochain. La barrière de la langue ne vous empêchera pas j'espère de profiter de ce passionnant documentaire.

 


 

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17 janvier 2012 2 17 /01 /janvier /2012 10:00

A l'occasion de la sortie sur supports numériques le 24 janvier prochain de "Paranormal Activity 3", la Paramount a annoncé le projet "Paranormal Activity The Chronology" présentant les 3 opus de la saga montés dans un ordre chronologique. Le rendu final sera agrémenté de scènes supplémentaires.

 

"Paranormal Activity 3 The Chronology" sera disponible sur des sites payants de téléchargement.

 

 



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14 janvier 2012 6 14 /01 /janvier /2012 18:00

En 1962 sortait sur les écrans "James Bond contre Dr. No".

 

50 ans plus tard, alors que s'annonce "Skyfall" (cf photo officielle ci-dessous), 23ème aventure cinématographique officielle de l'agent 007 pour la fin de l'année 2012 (le 24 octobre), les 22 autres longs métrages sortiront en haute définition dans un proche avenir pour fêter dignement l'une des plus célèbres sagas de l'histoire du 7ème art.

 

50 bougies ça se souffle quand même.

 

 

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28 octobre 2011 5 28 /10 /octobre /2011 10:00

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L'un de mes achats de noël. Selon tous les sites consultés, la restauration est phénoménale. Ni plus, ni moins.

 

L'un des plus grands films de l'Histoire du cinéma.

 

L'un des meilleurs acteurs de tous les temps.

 

LA plus belle séquence du 7ème art.

 

 

 



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10 septembre 2011 6 10 /09 /septembre /2011 18:00

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planète terreur
Vidéo envoyée par samom78

J'ai eu l'occasion de vous dire que j'avais apprécié modérément "Boulevard de la Mort", le premier segment du film Grindhouse réalisé par Quentin Tarrantino. Dimanche après midi j'ai vu un petit chef d'œuvre avec "Planète Terreur", le second volet du diptyque réalisé cette fois ci par Robert Rodriguez.

Le film s'ouvre de manière incroyable avec le vrai-faux trailer "Machete" (devenu un film depuis bien sûr). L'impact a été tel sur les spectateurs que ce morceau d'anthologie va devenir un long métrage à part entière. J'en salive d'avance.

"Planète Terreur" est un long métrage qui rend un vibrant hommage aux films d'horreur de série B des années 70 où les zombies s'en donnaient à "coeur" joie.

"Planète Terreur" est un film de barges qui va à cent à l'heure. Un long métrage aux allures de thriller futuriste apocalyptique. Une œuvre qui joue dans la démesure. Les traits sont forcés mais ce n'est que du bonheur.

Les effets spéciaux prennent le pari de nous en mettre plein les yeux. Les membres sont coupés, les cervelles éclatent, les plaies suintent et purulent. Le sang éclabousse la caméra. Les personnages surnagent tant bien que mal parmi toutes ces rivières rouges. Le spectateur est ravi.

L'action s'enchaine de manière naturelle et le spectacle devient baroque par moments. Chaque nouvelle scène apporte son lot de surprises.

Un long métrage bourré d'humour et de second degré. Les zombies se font massacrer par des humains qui ont le sourire aux lèvres. La mort est rapide. Aucun sentimentalisme cul-cul ne vient gâcher notre immense plaisir.

Un film qui donne l'occasion à de formidables acteurs de nous épater. Rose McGowan est très...hum hum enfin vous voyez. Freddy Rodriguez et Michael Biehn campent des personnages qui en ont vraiment dans le pantalon. Josh Brolin fait preuvre de son immense talent. Je suis persuadé qu'il faudra compter avec lui dans les prochaines années. Je ne peux pas tous les citer mais chaque second rôle apporte vraiment quelque chose à "Planète Terreur". Les apparitions de "guests" tels que Bruce Willis ou Tom Savini sont très plaisantes à suivre.

A cela vous ajoutez de belles nanas, du sexe et une musique "Vintage", vous obtenez une pépite de cinéma.

Un film à voir plusieurs fois. Chaque nouveau visionnage doit apporter son lot de découvertes.

Robert Rodriguez réalise un film d'une facture novatrice. Son hommage se transforme en un coup de maitre. La volonté de donner à sa réalisation un ancrage dans le passé (le grain donnée à la "pellicule" alors que le tournage s'est effectué en numérique) est l'une des nombreuses réussites du film.

Dévorez "Planète Terreur" tel un zombie avalant une cervelle.

En cadeau. Une piqure de rappel de "Machete".

 

 



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8 septembre 2011 4 08 /09 /septembre /2011 10:00

C'est un peu la question qui agite la toile ces jours à l'approche de la sortie de la saga "Star Wars" en Blu Ray le 14 septembre prochain.

 

La principale pierre d'achoppement réside dans le besoin, quasi viscéral, qu'a George Lucas de retoucher son oeuvre au fil des ans et chaque nouvelle édition est annoncée comme ultime à chaque fois.

 

Je pense me laisser tenter car je ne possède qu'un coffret DVD et j'ai su résister aux différentes moutures.

 

Des rumeurs (pour l'instant il n'y a rien de confirmé) circulent sur telle ou telle retouche. Avec ce genre de phénomène il faut surtout se méfier des "on dit que".

 

Patience, patience.

 

 

 

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25 août 2011 4 25 /08 /août /2011 18:22

Voici une scène coupée extraite de "X-Men le commencement". Dans les bacs le 19 octobre.

 

 


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13 août 2011 6 13 /08 /août /2011 10:00

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1 juillet 2011 5 01 /07 /juillet /2011 14:14

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C'est désormais officiel, la trilogie "Jurassic Park" débarquera dans les bacs le 25 octobre prochain.

 

Je vous laisse vous référer à l'excellente chronique du site "Les numériques" (toujours  à la pointe des analyses plus que pointues) et je vous propose des visuels ainsi que la bande annonce de l'édition américaine du produit.

 

 



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