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5 mars 2009 4 05 /03 /mars /2009 13:45
 


Le cinéma n'est pas fait d'éléments imperturbables et immuables, bien heureusement. Ainsi notre ressenti n'obéit à aucune constante, aucune loi inscrite dans le marbre. Chaque cinéphile construit son propres panthéon au fil des ans et marque de l'intérêt pour un acteur ou un film alors que son voisin n'en a rien à faire. C'est ce qui rend le 7ème art magique au plus haut point.

Si je vous dis : connaissais vous Kevin Grevioux ? je suis sûr que le commun des mortels n'imaginera pas qu'il s'agit d'un acteur américain. Un illustre inconnu.

Pas vraiment concernant votre serviteur. En assistant à la projection du long métrage "Underworld 3 : le soulèvement des lycans" j'ai trouvé que le bonhomme explosait à l'écran. L'acteur s'était déjà fait remarqué dans le rôle de Raze le Lycan, l'un des plus farouches adversaires de Selene (Kate Beckinsale) dans "Underworld".

Je trouve que le comédien dégage une incroyable impression de puissance, une rage brute quasi animale. Comme je le dis souvent à l'occasion de mes portraits de ces "gueules" de cinéma, ces acteurs ont sûrement une filmographie conséquente derrière eux, une carrière qui impose le respect, mais parfois un rôle change le déroulement d'une vie d'artiste. Il y a des rôles qui marquent les spectateurs indiscutablement.

Le personnage de Raze bénéficie également de ce nouvel éclairage dont je vous parlais récemment dans mon billet sur "Underworld 3 : le soulèvement des lycans". Un traitement en profondeur plus juste, plus humain.

J'adore écrire ce genre d'articles. Braquer la lumière sur des personnages de l'ombre pourrait être l'un de mes passe temps favoris.



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22 novembre 2008 6 22 /11 /novembre /2008 18:30



Question séries télévisées j'ai des années lumières de retard. J'ai découvert "X-files" il y a deux et demi à peine. J'ai vu pour la première fois "24 heures" fin 2007. Je possède l'un des coffrets "Twin Peaks" mais cette première saison fait tranquillement dodo sur l'une de mes étagères. Bon je sais j'ai honte, je ne suis pas "in".


Et en ce moment je suis en train de découvrir "The Shield" avec Michael Chiklis dans le rôle du policier corrompu Vic Mackey. Je viens d'achever la première saison (re, j'ai honte) et je suis littéralement conquis par ce feuilleton et pas l'interprétation phénomènale de Michael Chiklis.


L'acteur y est brutal, manipulateur, expéditif et ses actes sont pour le moins tordus. Et j'adore ça. Cela change des séries où les flics ont le doigt sur la couture du pantalon et tremblent à l'idée d'enfreindre la loi ou de se heurter à leur hiérarchie. 


Michael Chiklis donne l'impression de sortir du néant. L'acteur a eu une carrière avant "The Shield" mais incontestablement c'est le feuilleton qui l'a rendu célèbre dans le monde entier. Qui sait si ce n'est pas le rôle de sa vie ? l'avenir nous le dira mais le bonhomme a su conquérir son monde et obtenir la reconnaissance de la profession, des grands médias (7 saisons au total, cela impose le respect) et des fans.


J'ai vraiment hâte de voir tous les épisodes. Un vrai régal pour l'instant.




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18 juillet 2008 5 18 /07 /juillet /2008 10:00


Avant de devenir acteur,
Vinnie Jones a écumé les terrains du championnat d'Angleterre de Premier League pendant treize ans. Jouant pendant de nombreuses années avec l'équipe de Winbledon, il formait avec ses partenaires une équipe que les médias et le grand public surnommaient les "bad boys"

Vinnie Jones, doté d'un physique impressionnant, restera surtout dans l'histoire de ce sport comme le joueur ayant reçu le plus rapide carton rouge de tous les temps. A de nombreuses reprises le gallois s'est fait remarquer pour des actes d'anti-jeu d'une rare violence. Sur le terrain l'homme était une personnalité qui impressionnait ses adversaires.

Après avoir raccroché ses crampons, Vinnie Jones a intéressé les cinéastes et a entamé une deuxième carrière. Il entra très vite dans la cour des grands en intégrant l'univers de Guy Ritchie dans le mémorable "Crimes, arnaques et botanique" en 1998.

Deux ans plus tard il confirma ses dispositions à jouer les durs dans l'un des meilleurs films des années 2000 : "
Snatch". Un long métrage efficace, rythmé, bien écrit et réalisé qui a bénéficié surtout d'un casting de folie. Un film dont l'une des qualités est de nous présenter une galerie de tronches hors normes. Vinnie Jones nageait dans son élément.

Depuis il enchaîne les rôles avec régularité. Dans "
X-men, l'affrontement final" il est devenu "Juggernaut", l'un des lieutenants de Magneto. Bientôt il sera à l'affiche du très attendu "Midnight Meat Train"

Ce qui me fascine chez lui est le charisme et l'espèce de bestialité qui se dégagent de sa personne. Il incarne à la perfection la figure de la brute épaisse, du dur dans sa plus grande splendeur.

Le cinéma n'est pas fait que de comédiens shakespeariens ou d'actor's studio mais a aussi besoin de tous les Vinnie Jones de la terre. C'est pour cela que je l'apprécie.

Une vraie tronche de cinéma en somme
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6 mai 2008 2 06 /05 /mai /2008 19:27


Cela fait un bout de temps que je pense à la présente chronique sans pourtant arriver à trouver un angle d'attaque satisfaisant à 100% mais bon je me lance.

J'ai déjà eu l'occasion de vous dire que j'aimais le cinéma asiatique et plus particulièrement les longs métrages coréens (du sud bien sûr). Des films venus de ce lointain pays émerge la figure incontournable de l'acteur
Song Kang-Ho.

Personnellement je l'ai découvert dans "
Memories of murders" où il jouait un inspecteur de police traquant un sérial killer puis dans l'étrange long métrage "Sympathy for Mr Vengeance"qui nous plongeait au coeur d'un drame d'une noirceur incroyable (la perte d'un enfant et le thème de la vengeance). Mais une certaine reconnaissance internationale est venue avec "The Host" l'un des plus gros succès (le plus gros ?) du cinéma coréen dans lequel il joue un père de famille devenu héroïque par la force des choses.

Ce qui me passionne chez cet acteur est une espèce de bonhomie qui se dégage de son être. On a du mal à le prendre au sérieux.

Je trouve que ce comédien a un immense talent. D'abord cantonné à des rôles comiques, son jeu sûr a éclaté avec des rôles plus "sérieux". J'ai toujours plaisir à regarder des longs métrages où il fait une simple apparition (
"Shiri"). Je trouve qu'il apporte un petit quelque chose en plus au cinéma de notre temps.

Un artiste plutôt rare sur nos écrans (j'ai vu trois de ses films dans des salles MK2) et qui ne bénéficie que très rarement d'un coup de projecteur occidental.

Mais chacune de ses prestations me comble de joie. Un physique peu commun, un acteur hors norme. Une vraie gueule de cinéma.

A l'affiche prochainement dans le film : "
Le bon, la brute et le cinglé".
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27 février 2008 3 27 /02 /février /2008 12:06
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Oui mes ami(e)s je pense qu'il n'y pas d'autres mots pour qualifier ce formidable acteur. Ce que Daniel Day-Lewis touche, tel un Midas des temps modernes, il le transforme en or.

Bien sûr, je n'ai pas encore vu "There will be blood" qui sort aujourd'hui sur nos écrans mais les professionnels du cinéma sont unanimes pour qualifier sa prestation de "prodigieuse".

Mais loin de moi l'idée de baser ma réflexion sur une quelconque distinction (deux oscars déjà dont un pour "My left foot"). Mon émerveillement est celui d'un candide spectateur en arrêt devant le talent brut, la puissance du jeu d'acteur et la force dévastatrice d'une personnalité hors normes.

La première fois que j'ai vu "Au nom du père" je suis resté sur mon séant. Un film coup de poing porté par le brio de Daniel Day-Lewis. Tel un possédé, le rôle l'habitait. A de rares exceptions dans ma vie j'ai ressenti le grand frisson cinématographique. Le visionnage du film de Jim Sheridan était l'un de ceux là.

Ses apparitions à l'écran sont rares mais la moindre de ses prestations ravit les cinéphiles. Tel un fan parmi tant d'autres, j'apprécie l'énorme investissement humain du comédien. Chacun de ses rôles ressemble à une éternelle remise en cause. Chaque personnage devant recevoir la moindre once de cœur et d'âme.

J'ai cité "Au nom du père" pour l'exemple mais j'aurai pu choisir "Le dernier des Mohicans" ou "Gangs of New York" car ma démonstration aurait été identique. Daniel Day-Lewis est un acteur au talent immense qui choisit avec justesse les longs métrages qui lui plaisent. Sa rigueur professionnelle lui permet semble-t-il d'être exigent avec les initiateurs d'un projet. En retour, son implication est totale.

Au final il nous comble de bonheur.

Cher Daniel, ne change RIEN.
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6 février 2008 3 06 /02 /février /2008 18:45
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En ce moment je suis inspiré...

Si mes gueules de cinéma était un royaume, Ron Perlman serait son Roi.

J'adore littéralement cet acteur. Je trouve que l'un des meilleurs de ces 20 dernières années.

J'a découvert ce formidable comédien il y a plus de 20 ans avec deux films de Jean-Jacques Annaud. Dans "La Guerre du Feu" il incarnait l'un des trois aventuriers partis à la recherche du feu et dans "Le Nom de la Rose" il jouait avec brio "Salvatore", l'être difforme au langage universel.

Je trouve qu'il se dégage de lui, une force brute, la puissance d'un colosse et du charisme tout simplement. Rarement j'ai rencontré chez un acteur autant de d'expressions de visage différentes. A croire que ses traits sont de la pâte à modeler. Je parlais de "présence" il y a peu concernant Tony Todd, avec Ron Perlman, ce sentiment est décuplé.  Un vrai dur de cinéma.

Paradoxalement, l'homme a l'air marqué par un calme, une certaine assurance et de la sérénité (enfin c'est mon interprétation en voyant des photos).

Merci au passage à Guillermo del Toro qui lui a donné une reconnaissance mondiale avec "Hellboy". Le cinéaste a su trouvé LE comédien capable de porter sur ses épaules le poids d'un personnage très difficile à interpréter.

Je ne dirais pas que Ron Perlman a toujours fait les meilleurs choix de carrière (cependant un parcours cinématographique se "juge" ou s'apprécie au soir d'une vie) mais l'implication de cet acteur n'est jamais anodine. Très récemment j'ai vu "Désolation" d'après une nouvelle de Stephen King.

La réalisation était monotone, les effets spéciaux quelconques mais la prestation de Ron Perlman en shériff possédé était énorme. LE plus du film.

Oyez, oyez amies lectrices et amis lecteurs, j'espère que le Roi Perlman va continuer à nous régaler très longtemps encore.
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5 février 2008 2 05 /02 /février /2008 19:12
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Ma conception de mes "Gueules de cinéma" et le fait que j'y incorpore tel ou tel acteur est totalement subjective et n'obéit à aucune canon cinématographique précis. L'humeur du moment ou une lecture, voire un film, dictent mes choix.


Jean Gabin disait de Lino Ventura (la citation est de mémoire et résume l'idée générale) : "Lino n'a pas fait d'école de cinéma, n'a pas appris à jouer avec des professionnels mais quand il entre dans une pièce vide, il y a comme une présence qui se crée..." 

C'est ainsi que je dépeindrais de prime abord Tony Todd : une présence. Plutôt maléfique. Il est possible que ce soit une personne charmante dans la vie mais son personnage dégage une aura étrange, insondable, prenante qui impressionne le spectateur.

C'est peut être l'une des raisons qui ont poussé plusieurs productions à lui confier des rôles qui mettaient en avant ce côté mystérieux. Dans la trilogie "Destination Finale", lui seul connait le plan de la mort.

Et pour des millions de fans il restera à jamais le "Candyman".

Je ne voudrais pas être réducteur, Tony Todd a aussi une filmographie plus "classique" mais ce qui me passionne est l'étrangeté et la singularité de son apparence.

Si un acteur pouvait ou devait incarner nos peurs enfantines les plus secrètes, je crois que Tony Todd serait idéal pour le rôle. Il cristalliserait tous nos doutes,  nos terreurs nocturnes.

J'en frissonne.
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25 janvier 2008 5 25 /01 /janvier /2008 11:56
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Je suis en train de revoir pour la troisième fois "X-Files" et je suis encore impressionné par l'extraordinaire galerie de personnages qui jalonne les 9 saisons de cette fabuleuse série.

Parmi ces gueules de cinéma émerge l'acteur Brian Thompson qui incarne le mystérieux tueur extra terrestre sans nom. Une détermination hors norme, une précision chirurgicale dans l'exécution de ses basses œuvres et surtout une froideur d'expression et une absence de sentiments sont les traits caractéristiques de l'inquiétante figure qu'il compose.

Brian Thompson ne marquera pas l'histoire du cinéma comme les acteurs qui sont en haut de l'affiche mais il fait partie des milliers de seconds rôles qui donnent du volume à un long métrage.

Si la psychopathie devait avoir un visage, je pense qu'elle s'incarnerait en la personne de Brian Thompson. Des traits taillés à la serpe, une mâchoire lourde et puissante et un sorte d'éclat de folie dans le regard.

Il n'est pas étonnant alors qu'on lui confit la plupart du temps des rôles de tueurs, de brutes épaisses, de personnages placés en ce bas monde pour faire souffrir les autres.

J'ai une passion véritable pour ce genre d'acteur. Vulgairement on dit qu'ils ont le physique de l'emploi.

Pour moi il n'y a rien de péjoratif là dedans. Ils SONT aussi le cinéma.
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4 octobre 2007 4 04 /10 /octobre /2007 23:00
Il aurait pu incarner les jeunes premiers avec son visage de séducteur, un regard un brin mystérieux (enfin moi je dis cela comme cela en passant, à vous de juger Mesdames).

Mais la vie en a décidé autrement. Il est devenu une star mondiale chez les fans de cinéma d'horreur (et les autres) après avoir incarné "Ash" dans "Evil Dead", le cultissime film de Sam Raimi.

Une réalisation nerveuse, efficace (merci Monsieur Raimi) et un jeu d'acteur décomplexé ont dépoussiéré le genre. Un film qui alternait moments pénibles (enfin pas pour nous, humbles spectateurs) et passages assez drôles. Les 2ème et le 3ème opus ont franchement choisi l'option de la comédie d'horreur :  "Chez prix bas, les prix sont bas".

Dans cette trilogie, Bruce Campbell rayonnait par sa présence, son jeu juste (oops j'ai l'impression qu'on parle d'un mort là).

Mais toute médaille a son revers. Ce formidable acteur a été catalogué par des décideurs assez stupides pour ne pas reconnaître en lui un très grand. Alternant le bon et le moins bon, cette gueule de cinéma n'en continue pas moins un parcours cinématographique assez intéressant. Il y a deux ou trois ans j'ai vu un OVNI du 7ème art : "Bubba Ho tep" que j'ai particulièrement apprécié (en attendant la suite "Bubba Nosferatu" pour 2008 ou 2009).

De même qu'il continue à faire des apparitions en "guest" dans les longs métrages de Sam Raimi. On parle même de lui pour incarner l'un des adversaires de l'homme araignée dans "Spiderman 4".

Messieurs les pseudos intellos qui rangent les artistes dans des boîtes hermétiques : vous pouvez faire ce que vous voulez, tant que nous serons là, nous les fans, tous les Bruce Campbell du monde entier continueront à exister sur l'écran mais aussi dans nos coeurs et nos esprits.

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10 août 2007 5 10 /08 /août /2007 19:41
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Il y a des acteurs qui nous laissent indifférent, d'autres nous marquent à jamais.

Cillian Murphy appartient à cette seconde catégorie. Révélé au monde entier dans "28 jours plus tard", il nous livre depuis des prestations plus qu'honorables. Son immense talent a eclaté avec "Le vent se lève", l'extraordinaire film de Ken Loach.

Un jeu d'acteur c'est avant tout un visage. Cillian Murphy a cette capacité de pouvoir jouer des personnages antinomiques en modélant ses expressions. Son regard intense lui donne tour à tour une expression inquiétante ou candide.

Je suis persuadé qu'il fera partie des acteurs qui vont compter dans la prochaine décennie.
ps : rien à voir Après avoir vu sam's faire, j'ai essayé de créer un petit gif avec la tête du mignon Damien...


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