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1 décembre 2008 1 01 /12 /décembre /2008 18:30



En ce moment je me spécialise dans les scènes qui durent très peu de temps.

En lisant la biographie de J.J Abrams je suis tombé sur un truc incroyable concernant "Cloverfield". A la fin du générique, alors que les derniers survivants du long métrage semblent être tués par l'explosion nucléaire qui devait tuer le monstre, nous avons droit à l'ultime flash back du long métrage.

Dans cette courte séquence, le caméscope filme en plan large une plage. A la droite de l'image il y a un ferry boat. Et tout à coup un objet tombe du ciel. J'avoue que je n'avais pas remarqué cela au cinéma, ni la première fois que je l'ai revu en DVD.

Bien naturellement ce fait a agité la toile. L'explication la plus évidente avancée est l'origine extra-terrestre de la créature de "Cloverfield". Mais le débat reste ouvert.

La chute de la "chose" ne dure que quelques instant. Soyez attentifs. Mais si nous ne voyez rien sur ma vidéo, alors il vous reste les images que j'ai déniché sur internet. Passionnant. Non ?


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14 novembre 2008 5 14 /11 /novembre /2008 08:00


Vous n'aimez pas l'obscurité, vous n'aimez pas espaces confinés, vous n'aimez pas les choses étranges et inconnues. Alors cette petite vidéo est pour vous.

Ce court extrait de "Cloverfield" n'a l'air de rien comme ça tranquillement devant son écran d'ordinateur mais je peux vous assurer qu'au cinéma, dans une salle...obscure l'effet est radicalement différent.




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22 août 2008 5 22 /08 /août /2008 18:00


Et non je n'en ai pas fini avec "
Cloverfield". Voici le monstre qui se déchaîne et qui attaque nos malheureux héros...

Tous mes articles sur le film :
ici.


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17 mars 2008 1 17 /03 /mars /2008 15:58
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Le film post-apocalyptique Cloverfield est annoncé en DVD pour le 22 avril 2008. Pour l'instant cantonné aux États-Unis, il nous permet toutefois de nous faire une bonne idée de la future édition française.

Au niveau des bonus en tout cas, l'éditeur Paramount proposera un commentaire audio du réalisateur avec des mini-documentaires et pas moins de six scènes additionnelles totalement inédites. Côté son, que du classique avec du Dolby Digital 5.1 en anglais bien sûr ! (brève lue sur ecranlarge.com)
 
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8 février 2008 5 08 /02 /février /2008 19:21
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Mon aventure "Cloverfield", commencée sur ce blog le 10 juillet 2007, a pris fin aujourd'hui à 14h08 quand les lumières de la salle se sont rallumées.

C'était LE film que j'attendais en cette année 2008. Un évènement cinématographique de premier ordre. Les jours précédents j'étais plein d'angoisse : "et si "Cloverfield" était un bide retentissant ?".

Heureusement pour moi, le long métrage initié par JJ Abrams et réalisé par Matt Reeves est une réussite totale.

Pour entrer de plein pied dans cette chronique je ne vais pas être très original. J'ai lu ici ou là, depuis mercredi, plus ou moins la même phrase : "Cloverfield" n'est pas qu'un Buzz ou une opération de marketing très réussie, c'est avant tout un film avec une histoire, une réalisation soignée, efficace et de jeunes comédiens qui se révèlent à l'écran. Car toute stratégie implique qu'il y ait du fond. La forme ne suffit pas.

D'entrée le parti pris du film étonne, subjugue (ou a pu en déranger plus d'un) : le spectateur est au cœur du film avec les principaux personnages du long métrage. Il est un témoin privilégié de terribles évènements. Mais son regard est à postériori. Nous regardons une cassette retrouvée par l'armée américaine. Sur cette bande se trouvent des images chocs : en moins de 7 heures, une monstrueuse créature apparait et détruit New-York.

Dans "Le projet Blair Witch", référence qui s'impose à nous dés les premiers instants de "Cloverfield", nous campions en forêt avec trois jeunes étudiants, dans le cas présent, nous allons tous ensemble fêter le départ de Robert Hawkins (Michael Stahl-David)  qui doit s'envoler prochainement pour le Japon pour y occuper un poste de Vice-Président dans une importante société. Au cours de la soirée, Robert Hawkins croise son ex-petite amie Beth (Odette Yuthman).

Hud (T.J Miller), vidéaste amateur d'un soir, immortalise tous ces moments...

La fête bat son plein quand l'incroyable survient : le bâtiment et les les environs subissent de violentes secousses.

A partir de ce moment là, soit une vingtaine de minutes après le début du film, le long métrage bascule dans la frénésie totale. La longue séquence d'introduction est terminée. Place au chaos et l'horreur.

Un sentiment décuplée par cet œil omniscient qu'est la caméra amateur : nous voyons la tête de la statue de la Liberté rouler à nos pieds et les immeubles se détruire dans un fracas assourdissant.

Nous somme plongés au milieu de scènes qui rappellent la panique survenue après les évènements du 11 septembre. Les consignes d'évacuation données par des policiers dans la rue renvoient aux images d'une triste réalité.

Le souci du réalisme est total. L'emploi de la caméra mini DV destructure notre univers cinématographique traditionnel. Point de références classiques qui permettent de nous y retrouver ou de nous poser. L'emploi à minima de moyens techniques sert la forme et distille angoisse et panique à souhait.

Dès l'instant où nous savons qu'il ne s'agit pas d'un tremblement de terre ou d'une offensive terroriste mais de l'attaque d'un monstre, le film prend la forme d'une course contre la montre et d'une fuite en avant. Un groupe restreint de survivants  part à la recherche de l'ex-petite amie du héros.

Tout va très vite, trop diraient certains. La subjectivité de chaque instant, de chaque plan de caméra impressionne le spectateur. Le résultat est atteint : j'étais rivé au fauteuil. 

Les apparitions sporadiques du monstre font régner le chaos et la panique dans un New-York délabré. Je trouve que la scène sur le pont est l'un des passages clés de "Cloverfield" : la réalité du monstre devient palpable. Son potentiel destructeur aussi.

Cette "réalité" partielle (le camescope filme le sol, des parties de visages ou des morceaux de corps) sert l'histoire. Pas un seul plan de caméra qui nous suggère ou qui nous dit : voilà le monstre. Tout n'est qu'ombre ou infime morceau. La créature n'apparait qu'à la fin du film dans sa globalité. Et quel monstre.

Mes chères lectrices et mes chers lecteurs je vous respecte trop pour vous dire : la créature est ainsi faite. Je voudrais que le buzz continue encore pour quelques jours ou semaines pour les malchanceux qui n'auraient pas encore vu "Cloverfield".

La seule chose que je peux vous affirmer est que le monstre est très réussi. Sa réalisation va au-delà de mes espérances les plus folles. Merci au passage aux initiateurs de cette stratégie "Cloverfield". Les divers éléments portés à notre connaissance au cours des mois passés n'ont en rien dévoilé les secrets de la bête.

Contrairement à ce que je pensais à l'origine, "Cloverfield" n'est pas qu'un film de monstre. La créature est présente à peine 3 ou 4 minutes en cumulé sur l'heure et demie qui s'écoule sous nos yeux. Un temps de la narration quasi identique à la durée du film au passage. La catastrophe est entrecoupée de brefs flash-back symboles d'un bonheur passé. Le monstre est l'élément qui perturbe tout, qui sème mort et destruction sur son passage. Mais l'essentiel réside ailleurs.

Le vrai centre d'intérêt du long métrage est le combat d'humains pour leur survie. La séquence qui se déroule dans le métro de New York est l'archétype de cette lutte. Une joute à mort dans l'inconnu et l'obscurité. Un passage saisissant. L'angoisse est à son comble. La panique règne au sein de ce microcosme humain. Leur parcours est rythmé par les commentaires exaspérants d'Hud le cinéaste en herbe.

"Cloverfield" est une réussite cinématographique incontestable. Un film de genre abordé sous un angle très judicieux. Nous vivons une catastrophe par le petit bout de la lorgnette. L'un des nombreux points positifs du film est de ne rien révéler sur les origines du monstre. Le mystère reste entier. La mise en scène brutale, efficace, stylisée renforce l'impression de vitesse et le sentiment d'angoisse permanente.

"Cloverfield" adresse aussi quelques coups de griffe à notre monde moderne. Quand la tête de la statue de la liberté tombe, que font les êtres humains ?, ils filment ou prennent des photos au lieu de fuir. Et que font-ils lors de la panique généralisée : certains pillent des boutiques Hi-tech.

J'ai vraiment pris un pied énorme avec "Cloverfield". Un long métrage attendu au tournant par la génération internet. Un film original qui a pris le parti de faire voler en éclats les codes du genre. Et hormis le générique final, le film n'a pas de bande originale. Déroutant.

N'est ce pas ?

Même si "Godzilla" est une référence évidente, la forme de "Cloverfield" est à mille lieues du film de monstre classique.

Ah si je pouvais j'y retournerais de suite...

ps : je ne sais pas si je vais pouvoir écrire autre chose ce soir mais ces deux chroniques m'ont usé.
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19 janvier 2008 6 19 /01 /janvier /2008 20:45
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J'écris ce soir mon dernier article concernant "Cloverfield" avant sa sortie française.

Le film déferle depuis hier sur L'Amérique du nord. Nous, pauvres européens que nous sommes, devrons patienter jusqu'au 6 février.

Le buzz mondial s'en est allé et le mystère a pris fin.

J'ai pris cette décision car je ne veux pas me gâcher la fête et vous enlever votre plaisir. Rien qu'aujourd'hui j'ai reçu plusieurs  alertes email pour me montrer telle ou telle photo du film. Il y a carrément de longs articles qui "spoilent" à fond.

Je ne chercherai pas à savoir à quoi ressemble le monstre, ni que raconte l'histoire exactement.

Mon intérêt pour "Cloverfield" résidait (je devrais dire "réside") pour le long métrage en lui même et pour la stratégie mise en place. Rarement un concept n'avait autant enfiévré les esprits depuis quelques mois. C'était très intéressant de rechercher des informatons, des photos, de faire le tri entre fausses rumeurs et certitudes. Maintenant que le voile se lève...

Je souhaite donc que le film conserve ses secrets

Rendez vous dans une salle à partir du 6 février.
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11 janvier 2008 5 11 /01 /janvier /2008 11:15
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8 janvier 2008 2 08 /01 /janvier /2008 20:58
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Nouvel exemple saisissant du marketing viral mis en place autour de Cloverfield, une série de faux flashes d’informations plus vrais que nature, relatant la mystérieuse destruction d’une station océanique japonaise. Ces flashes reprennent les codes formels de J.T d’une demi douzaine de pays (première.fr)












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29 décembre 2007 6 29 /12 /décembre /2007 17:30
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22 décembre 2007 6 22 /12 /décembre /2007 09:27
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