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12 novembre 2009 4 12 /11 /novembre /2009 09:00
Harry Potter et le prince de sang-mêlé sera disponible en Blu-ray et édition double DVD le 18 novembre prochain, mais aussi dans une multitude de coffrets de rééditions, de versions "ultimate". Bref, les fans pourront apprécier très particulièrement ce jour de novembre.

Tout d'abord, tous les films ressortent en édition spéciale 2 DVD avec une nouvelle couverture et un prix tournant autour de 8.19€ HT pour les DVD et 16,39€ HT pour les Blu Ray.





Maintenant, pour les vrais fans purs et durs, sortent des versions Ultimate des 2 premiers films de la franchise avec pour la première fois les films en version étendues de 7 minutes pour le premier et de 13 minutes pour le second.





Puis il y à le gros du morceau avec Harry Potter et le prince de sang-mêlé le 6è épisode de la saga qui débarque à peine quelques mois après sa sortie cinéma. (source : sfu)



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21 octobre 2009 3 21 /10 /octobre /2009 18:00





Parfois il suffit d’un petit rien pour prendre un panard d’enfer. "Dead Snow" du norvégien Tommy Wirkola appartient à la catégorie de longs métrages qui vous en donnent pour votre argent. Une oeuvre qui nous en met plein les mirettes.

 

Le scénario est on ne peut plus classique et obéit à un schéma maintes fois utilisé. Un groupe d’amis part faire de la randonnée dans les montagnes de Norvège. Ils ont la malchance de s’aventurer dans une contrée maudite et tombent sur un régiment de zombies nazis.

 

Le carnage peut alors commencer.

 

Sur un canevas classique le metteur arrive à bâtir un récit qui se tient et sa manière de mettre en scène nous fait oublier bon nombre de films déjà vu.

 

Le long métrage est dynamique, l’histoire nous prend et nous entoure d’un voile de mystère avec une très grande efficacité. La tension monte crescendo jusqu’à la révélation de l’identité des mystérieuses créatures qui résident dans ces massifs. Le réalisateur joue sur notre peur du noir et se plait à nous surprendre avec de petits riens.

 

L’originalité du film est aussi de mêler la comédie à la terreur la plus pure. Car "Dead Snow" n’est pas un long métrage d’horreur intégrale. Il y a des situations vraiment drôles et des morts croquignolesques. A certains moments j’avais vraiment le sourire aux lèvres alors que dans l’absolu il n’y a vraiment pas de quoi.


Voir un zombie nazi attaquer un mortel avec une faucille et un marteau, il y a de quoi dérider les plus sceptiques d’entre vous.

 

Les images sont très belles et certainement très travaillées. Les superbes paysages offrent à la fois un cadre idyllique et un superbe piège pour de pauvres touristes en mal de sensations fortes.

 

La musique est bien prenante. La bande sonore s’avère même indispensable.

 

Mais la grande réussite du long métrage est la qualité des effets spéciaux proposés. Les membres sont tranchés, les têtes explosent, le sang gicle à profusion dans une débauche de moyens employés différents et de savoirs faire d’une prodigieuse finesse. La mort prend des formes diverses et variées.

 

Chapeau bas aux techniciens qui ont employé leurs compétences et leurs talents ici. Un pur régal.

 

"Dead Snow" est une très agréable surprise qui ravira les amoureux du genre et les néophytes.


A voir et à revoir sans état d’âme.

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16 octobre 2009 5 16 /10 /octobre /2009 09:06




Sorti en 2009 en France, Les Trois Royaumes existe en deux versions. La première, plus adaptée à la diffusion en Occident, est en fait un « condensé » de l’épopée d’une durée de 2h45. La version longue, pour l’Asie, est scindée en deux parties, dont l’une est sortie en 2008 et l’autre début 2009, dure au total 5 heures.

Face à tout cela, quoi de plus normal que s’attendre à ce que le DVD nous présente, en profondeur, l’envers du décor de cette première super production chinoise : des interviews, une présentation du film, un making of… Des bonus classiques en somme. Que nenni ! Bien des cinéphiles lèveront le sourcil de perplexité, allant même jusqu’à se demander si l’autre DVD existe et qu’il n’est pas tombé de la boîte, quand ils constateront que cette édition ne contient pas le moindre bonus. On ne peut le formuler autrement : pour une super production, c’est une super déception !

(article de commeaucinema.com)

Parfois je me dis que les distributeurs nous prennent vraiment pour des enfants incultes, des idiots de bas étage ou pire pour des cons tout simplement.

Ce long métrage est l'un des films de 2009 d'une rare puissance évocatrice. Ma chronique était, comme dans pareil cas, très élogieuse.

Je n'ai vu que la version internationale proposée dans ce dvd.

Je ne demande pas la lune. Même une version de 4 ou 5 heures sur une ou deux galettes en VOSTFR me suffisait amplement (pas la peine de s'escrimer à traduire absolument).

J'ai entendu ici ou là une raison invoquée vraiment en bois : les parties délaissées par la version internationale contiendraient des références culturelles propres à la Chine. Des notions incompréhensibles pour un spectateur européen de base complètement largué.

Mais de qui se moque-t-on ?

Si vraiment on devait passer bon nombre de films au tamis de la référence culturelle, je ne sais pas combien de longs métrages arriveraient sur nos écrans.

Le charme du cinéma est justement de nous ouvrir à des pays, des civilisations, des notions et des idées totalement différentes de nos chères et tendres valeurs.

Mais je commence à connaître la musique. Ce dvd va bien se vendre et dans 6 mois ou un an nous aurons le droit à une édition "ultimate", "exclusive" ou "Special".



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12 octobre 2009 1 12 /10 /octobre /2009 08:00




J'ai revu "Anges et Démons" de Ron Howard hier après midi. De nos jours la sortie en dvd d'un long métrage suit l'exploitation en salles de quelques semaines. A se demander si véritablement une oeuvre peut avoir une "vie" décente en salles.

Vous savez que j'aime la précision et quand une question  ma taraude l'esprit j'aime bien être sûr de mon fait.

Mon interrogation portait sur la place chronologique du second opus dans ce qui sera à coup sûr une trilogie cinématographique. (le troisième roman de
Dan Brown narrant les aventures du Professeur Langdon intitulé "Le symbole perdu" sortira chez nous le 26 novembre prochain).

Alors préquelle ou suite ?

Sur le papier l'action de "Anges et Démons" se situe antérieurement à celle du "Da Vinci Code" pour un certain nombre de raisons :

Aux Etat-Unis le roman "Anges et Démons" a été publié en 2000, trois ans avant "Da Vinci Code" (dans l'absolu ce n'est pas une preuve en soi, l'auteur a toute latitude pour organiser sa propre chronologie)

Dans "Da Vinci Code" des renvois en bas de pages font référence aux péripéties de "Anges et Démons". Avant que Robert Langdon soit plongé dans l'intrigue du Louvre, le lecteur sait que de terribles choses se sont déroulées au Vatican un an auparavant.


Une précison pour expliquer parfois un certain imbroglio. Nous n'avons pas bénéficié du traitement réservé aux lecteurs américains.


En France "Anges et Démons" a été publié après "Da Vinci Code". Le succès phénoménal de "Da Vinci Code" dans nos foyers, à commencer par votre serviteur, explique cet état de fait.


Il en résulte une situation pas très orthodoxe pour le lecteur hexagonale. Dans les premiers mois de la sortie de "Da Vinci Code", les fameux renvois de l'édition française faisaient référence à un ouvrage pas encore publié chez nous.


Au cinéma il s'avère que l'affaire est plus compliquée. L'un des personnages souligne que Robert Langdon (Tom Hanks) a eu maille à partir avec une affaire toute Chrétienne l'année précédente, laissant supposer que "Anges et Démons" est une suite cinématographique de "Da Vinci Code". Le tout est dit de manière à laisser planer quand même un certain doute.

Vous suivez ?

Aujourd'hui j'ai la preuve qu'au cinéma, et donc contrairement à la chronologie littéraire, "Anges et Démons" est bien la suite de "Da Vinci Code". Cet indice est sans équivoque possible.

Dans une courte séquence que je vous propose il y a, en toute fin d'extrait (sur la droite de l'image), dans le bureau du professeur un cadre posé sur une étagère où figure une photo de Sophie Neveu alias Audrey Tautou. Il s'avère que Robert Langdon fait la connaissance de ce personnage dans le premier film, ce qui valide de facto l'inversion temporelle des oeuvres pour le 7ème art.

Je vous accorde que l'image est fugace. Au cinéma cela m'avait échappé, comme à pas mal de monde je suppose. Je vous propose également une photo pour étayer mes dires.


Je dois vous avouer que je n'ai rien découvert tout seul. L'anecdote figure sur des sites spécialisés consacrés aux secrets du tournage.

J'ai seulement le mérite de vous éclairer.


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9 octobre 2009 5 09 /10 /octobre /2009 09:45


Le Punisher est un personnage de la galaxie Marvel né en 1974 sous la plume de Gerry Conway. L’univers du personnage est sans espoir et Frank Castle, dont la famille a été massacrée lors d’un pique nique dans Central Park, entame une croisade contre le crime. Il punit ses ennemis de manière violente et définitive sans jamais accepter de compromis ni de reddition. Sa formation militaire d’ancien membre du corps des Marines lui sert à mener des missions de plus en plus périlleuses.

En 1989 le comics a fait l’objet d’une première adaptation au cinéma sous la direction de Mark Goldblatt avec dans le rôle titre Dolph Lundgren. Je dois vous avouer que j’ai gardé peu de souvenirs de ce long métrage mais je me rappelle avoir pris du plaisir. C’est ce qui compte en définitive.

En 2004 l’industrie cinématographique a remis le couvert avec une œuvre signée Jonathan Hensleigh. Le Punisher était interprété par Thomas Jane et le méchant de service par John Travolta. J’ai vu deux fois cet opus (en salles et en dvd) et je reste circonspect.

Même s’il a d’indéniables qualités j’ai trouvé que ce long métrage manquait d’envergure et de souffle. Je me suis dit aussi que les scénaristes avaient eu la mauvaise idée d’intellectualiser un peu trop le personnage principal alors que le Punisher est un être violent basiquement parlant.

Et le défaut majeur de ce long métrage est le manque de charisme de Thomas Jane. Ailleurs il est plutôt bon acteur mais dans le rôle du Punisher, il ne m’a pas convaincu. Il manquait une certaine dimension "écorché vif".


Dernièrement le Punisher est revenu sur le devant de la scène avec un troisième film intitulé "Punisher : War Zone" sorti directement en dvd. La mise en scène est signée Lexi Alexander et Ray Stevenson tient la vedette.

Je dois vous dire que les bandes annonces avaient aiguisé mon intérêt il y a quelque temps déjà. Les chroniques de Sam’s et Movie n’ont fait que renforcer mon envie de voir ce film.

"Punisher : War Zone" est un long métrage très réussi qui nous en donne pour notre argent. Quelle injustice que ce film n’ait pas eu sa chance en salles quand on voit le nombre d’étrons que nous nous coltinons à longueur d’année.

C’est indéniablement un spectacle qui se rapproche le plus de la bande dessinée originelle. Nous sommes nombreux à réclamer ce genre de longs métrages qui décoiffent. Il n’y a aucune honte à en prendre plein la gueule de temps en temps.

Le présent opus ne brille pas par l’originalité de son scénario ni de son histoire. Nous sommes plongés au cœur de l’éternel combat d’un homme sans pitié contre le crime organisé. La trame est connue mais l’intérêt est ailleurs.

"Punisher : War Zone" est un long métrage d’action dense, dynamique, plein de rythme. L’enchaînement des scènes est hallucinant. Autant vous dire tout de suite que le spectateur n’a pas le temps d’approfondir la psychologie des personnages. Le metteur en scène va droit à l’essentiel sans s’appesantir sur le superflu. Des protagonistes font leur apparition à un moment donné puis disparaissent dans la foulée.

L’émotion est distillée à doses homéopathiques. Seule une petite fille arrive à percer l’armure du Punisher, figure glaciale par excellence.

C’est du cinéma bien bourrin qui fait chaud au cœur. Le spectateur a l’impression de se trouver aux côtés de Frank Castle et d’appuyer en même temps que lui sur la détente.

Il y a un petit côté défoulement typiquement "Loi du Talion". Le Punisher apparaît comme un personnage qui a ce qu’il faut, là où il le faut. Sa vengeance est brutale, prompte, sans équivoque. L’anti-héros pas excellence utilise sa science des armes et des explosifs, son art du déplacement silencieux pour massacrer à tour de bras ceux qui se trouvent sur son chemin.

La seule originalité de la thématique de la vengeance est de nous brosser le portrait d'un être qui doute à la suite d'un drame. Mais cette période d'hésitation dure peu. On ne se refait pas.

Punisher pour un jour, Punisher pour toujours.

Le long métrage est stylisé au possible. Les gunfights sont nombreux  et surtout crédibles. Ils ressemblent à de véritables chorégraphies parfaitement mises au point.

Lexi Alexander utilise au mieux des angles de caméra et des cadrages à chaque fois différents pour nous proposer des scènes variées et explosives. Chaque séquence donne l’impression d’avoir été pensée indépendamment du reste. Inventivité et créativité sont les maîtres mots de ce film au combien jouissif.

Visuellement l’œuvre est aussi satisfaisante. Pas mal de séquences se déroulent de nuit et les éclairages confèrent à certains passages des ambiances chromatiques aussi étranges que troublantes. J’ai particulièrement apprécié les éclairages verdâtres des couloirs du métro. Il y a comme un climat électrique qui nimbe le tout.

"Punisher : War Zone" met la barre très haut en ce qui concerne les effets sanguinolents. Rien ne nous épargné. Le Punisher trucide à tour de bras et on en redemande. Les membres sont coupés ou déchiquetés, les têtes explosent. Le sang gicle à profusion sans jamais nous lasser. La croisade de Frank Castle devient la nôtre.

Ray Stevenson incarne un Punisher diablement convainquant. Sa composition est magistrale. Dominic West a l’air de s’amuser comme un petit fou dans le rôle de "Jigsaw". Doug Hutchinson (l’immonde gardien Percy Wetmore de "La ligne Verte") incarne un immonde salopard, un psychopathe de la pire espèce.

"Punisher : War Zone" en jette vraiment. Nous sommes revenus aux sources de la matière première. Je ne sais pas s’il s’agit d’un nouveau départ pour la franchise mais ce film marque indéniablement les esprits. C’est du bon cinéma tout terrain qui ne fait pas dans la finesse.

Un long métrage efficace et racé. Que demande le peuple ?

Un autre Punisher tout simplement.

Et une sortie en salles.

En cadeau une courte séquence qui donne le "la" au long métrage.

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6 septembre 2009 7 06 /09 /septembre /2009 19:04



J’ai pris mon temps mais j’ai enfin pu visionner "Bienvenue au Cottage" de Paul Andrew William et j’ai vraiment adoré.

David (Andy Serkis) et Peter (Reece Shearsmith) kidnappent Tracey (Jennifer Ellison) et se réfugient quelque part dans la campagne anglaise. Mais les ennuis s’accumulent pour les deux apprentis malfaiteurs.

La situation bascule quand ils croisent la route d’un fermier psychopathe.

J’ai regardé un long métrage mais je devrais plutôt dire que j’ai vu deux films bien distincts. Dans un premier temps nous sommes en plein d’une comédie policière on ne peut plus classique. Les kidnappeurs accumulent les contrariétés et problèmes divers. Le ton est léger. On sourit aux infortunes, maladresses et bourdes de ce duo de malfaiteurs au rabais (qui devient trio par la suite). L’humour (anglais) est présent dans chaque situation. Le rythme monte crescendo. Les dialogues sont très drôles et le jeu des acteurs est très au point. Les réparties fusent et dynamisent l’ensemble.

Puis tout à coup l’œuvre sombre dans l’horreur sans que nous sentions le vent tourner. Nous évoluons au beau milieu d’un slasher on ne peut plus réaliste. Les scènes chocs se succèdent à un rythme assez soutenu.

L’univers gore est brutal et sanglant. Les membres sont coupés, tranchés avec violence, les têtes volent, le sang gicle avec profusion d’hémoglobine. Cette seconde partie résonne comme un hommage aux meilleurs films du genre.

L’arrachage de tête et de colonne vertébrale n’est pas sans nous rappeler un certain Predator. Mais n’oubliez pas que ce long métrage est anglais et qu’il y a toujours la marque de fabrique propre au 7ème art d’outre manche, à savoir son humour.

Même si ce second temps du long métrage est dramatiquement sanglant dans l’absolu, il y a toujours ce petit côté "so british" qui fait la différence. Les personnages s’enfoncent dans l’horreur intégrale mais la comédie resurgit de manière impromptue ici ou là.

Je dois vous avouer que ce film m’a véritablement emballé. L’histoire est traitée avec une vigueur incroyable par le réalisateur. Une ambiance pesante s’installe de manière efficace sans trop d’artifices. Quand le personnage d’Andy Serkis part téléphoner au village tout proche, on ressent qu’un mystère plane et les villageois semblent bien inquiétants.

Le tout est à prendre au second degré mais l’effet recherché fonctionne pleinement.

Reece Shearsmith est remarquable dans son rôle du kidnappeur à la petite semaine qui a une phobie des papillons de nuit. En tant que digne représentant des mâles en chaleur (lol) j’ai énormément apprécié la généreuse et plantureuse Jennifer Ellison dont les formes explosent à l’écran.

Cependant la véritable satisfaction du film est Andy Serkis. Ce comédien est vraiment un type épatant qu’on ne saurait réduire à de la Motion ou Performance Capture. Il y a une tronche folle. Des expressions de visage inouïes, des répliques qui font mouche, une présence à l’écran très bien orchestrée le rendent indispensable ici.

"Bienvenue au Cottage" est un film surprenant.

A voir (jusqu’au bout).

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27 août 2009 4 27 /08 /août /2009 09:10
Disney s'apprête à sortir le 16 septembre prochain une collection de dessins animés particulièrement intéressante.

Il s'agira de 7 volumes regroupant courts et moyens métrages du célèbre studio d'animation. Inspirés de contes et de fables classiques (La Fontaine, Mark Twain), ces adaptations raviront les adultes, bercés par la fibre nostalgique, et feront le bonheur des enfants.

L'éditeur présentera ainsi 7 DVD proposant chacun une sélection de plusieurs films (article de Dvdrama).


Je connais un petit bout de 7 ans qui ma me réclamer ces dvd.




















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18 août 2009 2 18 /08 /août /2009 09:33


Old Boy va sortir en Blu-Ray chez Wild Side le 30 septembre prochain. Aujourd'hui, ce sont toutes les spécifications techniques et la liste des suppléments qui se dévoilent devant nos petits yeux ébahis.

Adapté du manga de Minegishi Nobuaki et Tsuchiya Garon sorti en 1997, le film raconte l'histoire de Oh Dae-Soo, un père de famille enlevé devant chez lui et séquestré pendant 15 ans dans une pièce avec pour seule compagnie une télévision. Sans raison, sans explication, il apprend aux informations le meurtre de sa femme dont il est le principal suspect.

Alors inondé d'un sentiment de vengeance, qui le fait survivre depuis ces longues années d'emprisonnement, Oh Dae-Soo est relâché au milieu d'un parc, sans aucune précision. Dans sa poche un téléphone sonne, c'est le commanditaire de son enlèvement... Commence alors un jeu de pistes et d'énigmes à la recherche de la vérité.

Au menu du premier disque, nous retrouverons le film au format respecté (2.35) en 1080p avec le Coréen et le Français en DTS Master Audio 7.1 (sous-titres Français présents).

La partie suppléments s'articule autour des précédents éléments du DVD collector, à savoir le Making-of (1h13), Autour du film : les effets spéciaux / les décors / la musique / Cannes 2004 (46'), Interviews de l'équipe du film (41'), Scènes coupées et alternatives, commentées par le réal. PARK Chan-wook (25'), la bande originale du film intégrale (24 morceaux) et DTS Sound Check (réglage de votre installation audio multicanal).

Le disque 2 est un DVD-vidéo qui ajoute le documentaire "Naissance d'un mythe : le journal de bord du tournage" (3h30), ainsi que les bandes-annonces de l'éditeur. Le dossier de presse original du film sera joint à cette édition bien complète (28 pages).

Article de dvdrama.

Un film vraiment énorme, inclassable, étonnant, surprenant. L'un des plus étranges que j'ai eu l'occasion de voir dans mon existence mais surtout l'un des plus beaux.

Tout simplement.
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11 juin 2009 4 11 /06 /juin /2009 18:22


Récemment le film "Wushu" est venu enrichir ma collection de longs métrages asiatiques que je possède.

La trame est simple : cinq jeunes gens qui se sont connus enfants à leur entrée à l'école de Wushu et qui forment un cercle amical baptisé "les petits dragons" (en référence à Bruce Lee), doivent réussir leurs examens pour intégrer l'équipe d'arts martiaux de la province. Dans le même temps ils tentent de réduire à néant les agissements de redoutables truands spécialisés dans le kidnapping de très jeunes enfants.

Deux des petits dragons sont aidés par leur père et professeur à l'école de Wushu (Sammo Hung).

C'est un long métrage frais, plein d'énergie. Ça va très vite. Le mouvement est au coeur de ce film .

L'histoire est simple mais c'est surtout la manière de filmer qui rend les choses agréables.

Certains angles de caméra sont tout simplement hallucinants.

Les combats sont réglés comme du papier à musique. Il y a véritablement une très grande maestria déployée ici. Les séquences explosives s'enchaînent sans que le spectateur soit noyé par ce déferlement d'action.

Et bien sûr il y a toujours une note d'humour de circonstance.

Les jeunes acteurs font preuve d'une dextérité et d'une condition physique hors du commun. Et Sammo Heung apporte sa classe et son expérience.

Un régal pour celles et ceux qui aiment ce cinéma si particulier. Les autres, les chagrins, diront que c'est trop (les ralentis, les bruitages ou les cascades si dépendantes de ce genre de longs métrages). Qu'importe le plaisir est ailleurs : nous voyons autre chose, nous rêvons et nous sommes au milieu d'un monde spectaculaire.

Et comme d'habitude : un petit extrait en cadeau.

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8 juin 2009 1 08 /06 /juin /2009 13:55
J'aime le cinéma chinois. Vous commencez à certainement le savoir. J'apprécie les grandes fresques historiques de Zhang Yimou ("Hero","Le secret des poignards volants") et de John Woo ("les 3 Royaumes") ou les thrillers policiers de la branche Hong Kongaise de ce formidable et créatif cinéma.

J'adore me plonger dans ces histoires de triades, de mafias qui s'entre déchirent pour le pouvoir, ces hommes qui règlent leurs problèmes à coup de flingues. Il y a souvent des séquences d'une incroyable frénésie où nous perdons notre latin. Pour celles et ceux qui s'ennuient devant leur écran de télévision, je vous conseille avec force de vous procurer de toute urgence la trilogie "Infernal Affairs"

Mais l'essentiel est ailleurs. C'est un cinéma qui se caractérise par son approche incisive des personnages et des situations, une manière de filmer que les américains pillent depuis deux décennies au moins et un respect absolu pour les goûts du public.

Contrairement à ce que l'on pourrait penser de prime abord, il y a souvent une morale à retenir. L'un des plus bel exemple est "Breaking News" de Johnnie To qui dénonce avec force l'omniprésence des médias et la culture de l'image poussée jusqu'à son paroxysme. Un régal.

Et pour les derniers réfractaires je vous incite à regarder "Sparrow" sorti l'an dernier. Il y a une poésie des images que l'on ne rencontre nulle part ailleurs. La séquence du ballet des parapluies est déjà entrée dans la légende.

En ce moment j'ai une passion pour ce cinéaste. En quelques heures j'ai fait l'acquisition de cinq longs métrages du bonhomme. Je possédais déjà "Breaking News" et "Triangle" (né de la collaboration avec Ringo Lam et Tsui Hark).

Je me suis donc procuré : "Election 1", "Election 2", "Mad Detective", "Fulltime Killer" et "Runing out of Time". De longues et belles heures en perspective.













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