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19 juin 2008 4 19 /06 /juin /2008 14:51


Instant léger aujourd'hui, moment de détente pure avec "Sans Sarah, rien ne va!" de Nick Stoller.

Peter Bretter (
Jason Segel) compose les musiques pour une série à succès dans laquelle joue sa fiancée Sarah Marshall (Kristin Bell). Sans ménagement cette dernière le quitte pour un chanteur en vogue (Russell Brand). Rongé par le chagrin, Peter décide de prendre le large et part quelques jours en vacances à Hawaï. Horreur il descend dans le même hôtel que son ex accompagné par son playboy de service. Comment les ex-tourtereaux vont-ils faire pour cohabiter ?

Scénario archi convenu : oui, histoire vieille comme le monde : oui. Film plat et répétitif : non.

"Sans Sarah rien ne va" n'est pas une énième comédie sentimentale de plus. L'intérêt majeur est de ne pas tourner autour du pot. Les scénaristes et le réalisateur ont voulu appuyer là où ça fait mal en nous parlant vrai. Points de lieux communs, ni de poncifs récurrents sur les affres de la séparation. Notre héros chute de son petit nuage d'amoureux et la rupture le touche au plus profond de son ego.

"Sans Sarah, rien ne va !" est une comédie très agréable à regarder. Les situations comiques sont savoureuses. Le long métrage est ponctué par tout un tas de petits moment très jouissifs.

En toile de fond la charge contre l'univers télévisuel est sévère. Sarah Marshall joue dans un célèbre feuilleton. Mais l'avenir de cette série télévisée peut être remis en cause à chaque moment dés que l'audimat flanche. La starlette a peur de ne plus "exister" si son joli minois disparaît des petites lucarnes. Même si la situation est abordée sous l'angle de la comédie, le message en arrière plan est sans équivoque : il y a quelque chose de pourri au royaume de la télévision américaine.

Le film a été écrit par Jason Segel lui-même. Ma première impression a été que le titre du film était un trompe l'oeil volontaire tant la star du long métrage est en fait le fiancé éploré. "Sarah Marshall" n'est qu'une faire valoir, elle cristallise le chagrin de notre héros. L'acteur/scénariste s'est réservé la part du lion et porte le film à bout de bras. L'autre réussite est que le comédien n'en fait pas trop. Son implication est totale, son jeu et juste et mesuré. Son personnage est attachant. Ses malheurs nous touchent.

"Sans Sarah, rien ne va !" est l'occasion de rencontrer une galerie de personnages hauts en couleur. Nous faisons la connaissance d'un jeune couple de jeunes mariés qui a des problèmes avec Dieu et la sexualité, un professeur de surf dont la mémoire déraille, une star de la chanson dont le côté "Zen" nous agace et nous ravit à la fois et une jolie réceptionniste d'hôtel (
Mila Kunis).

La dernière réussite du film, et non des moindres, est de ne pas nous proposer une fin heureuse classique et linéaire. Sarah Marshall était l'être aimé, l'objet de son désir. Peter aurait pu retomber dans les bras de la femme adorée. Oui peut être. Sauf que pendant une semaine l'ex amoureux transi a rencontré de nouveaux amis, l'amour a de nouveau cogné à sa porte. La vie lui a donné l'occasion de faire le point sur son existence et de prendre un nouveau départ. La vie peut-elle se concevoir sans Sarah Marshall ?. Assurément.

"Sans "Sans Sarah, rien ne va!" est un long métrage original, bien écrit. Une réelle bonne surprise qui sort sur nos écrans au moment opportun. Les blockbusters estivaux ne sont pas encore arrivés sur nos écrans. En ce moment c'est un peu le ventre mou de l'année cinématographique. "Sans Sarah Marshall, rien ne va!" peut trouver son public et faire parler de lui.
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19 juin 2008 4 19 /06 /juin /2008 08:52
Après New York, Londres, Woody Allen pose ses valises à Barcelone. Pour le plus grand bonheur des cinéphiles.




 

 


"Vicky Cristina Barcelona" : sortie le 8 octobre.

Réalisateur : Woody Allen.

Acteurs :
Penélope Cruz, Scarlett Johansson et Javier Bardem.

Genre : comédie dramatique.

Résumé : Vicky et Cristina sont d'excellentes amies, avec des visions diamétralement opposées de l'amour : la première est une femme de raison, fiancée à un jeune homme respectable ; la seconde, une créature d'instincts, dénuée d'inhibitions et perpétuellement à la recherche de nouvelles expériences sexuelles et passionnelles.

Lorsque Judy et Mark, deux lointains parents de Vicky, offrent de les accueillir pour l'été à Barcelone, les deux amies acceptent avec joie : Vicky pour y consacrer les derniers mois de son célibat à la poursuite d'un master ; Cristina pour goûter un changement de décor et surmonter le traumatisme de sa dernière rupture.

Un soir, dans une galerie d'art, Cristina "flashe" pour le peintre Juan Antonio, bel homme à la sensualité provocante. Son intérêt redouble lorsque Judy lui murmure que Juan Antonio entretient une relation si orageuse avec son ex-femme, Maria Elena, qu'ils ont failli s'entre-tuer. Plus tard, au restaurant, Juan Antonio aborde Vicky et Cristina avec une proposition des plus directes : s'envoler avec lui pour Oviedo, consacrer le week-end à explorer les beautés de la ville, à boire du bon vin et à faire l'amour. Vicky est horrifiée ; Cristina, ravie, la persuade de tenter l'aventure...
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18 juin 2008 3 18 /06 /juin /2008 19:00

 

 


"Capitaine Alatriste" : sortie le 25 juin.

Réalisateur :
Augustin Diaz Yanes.

Acteurs :
Viggo Mortensen, Elena Anaya, Unax Ugalde...

Genre : Aventures

Résumé : "Ce n'était pas l'homme le plus honnête, ni le plus pieux, mais c'était un homme courageux. Il s'appelait Diego Alatriste."


Tels sont les premiers mots du best-seller international d'
Arturo Pérez-Reverte, "Le capitaine Alatriste". L'histoire se déroule dans l'Espagne impériale du XVIIe siècle, entre 1622 et 1643, sous le règne de Philippe IV, avant-dernier roi de la Maison d'Autriche. Philippe IV est un monarque faible et facilement manipulable, dominé par une Cour corrompue, agitée par les intrigues orchestrées par le très influent comte-duc Olivares.

L'Empire espagnol décline lentement. La société souffre de ses nombreuses contradictions. Le luxe et l'opulence de l'aristocratie coexistent avec la misère et la vulnérabilité du peuple ; côte à côte se dressent de somptueux palais et des masures croulantes, d'élégants salons et des tavernes louches. C'est là que Quevedo et Góngoria écrivent leurs vers, que Velásquez peint ses toiles et que Lope de Vega monte ses comédies.

Ce monde déclinant est le théâtre des aventures de Diego Alatriste, fier soldat au service de Sa Majesté dans les Flandres, et mercenaire à Madrid et Séville en temps de paix. Alatriste est amoureux de la belle María de Castro, la plus célèbre comédienne de son temps. En compagnie de ses frères d'armes, Alatriste tient la promesse faite à son père mourant : il s'occupe du jeune Iñigo Balboa. Alatriste s'efforce en vain de préserver Iñigo à la fois d'une carrière militaire et de la femme machiavélique qu'aime le jeune homme, la douce mais inquiétante Angélica Alquézar. Angélica est la fille de Luis de Alquézar, l'ennemi juré d'Alatriste. Selon le moment et les circonstances, Alatriste est tantôt l'allié, tantôt l'adversaire de Gualterio Malatesta, un Italien cynique et sans scrupules.

Intrigues et trahisons, duels et batailles, amour et haine sont au coeur de la vie de ces personnages et de cette
époque.
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18 juin 2008 3 18 /06 /juin /2008 13:51

Après Mystic river par Clint Eastwood et Gone baby gone par Ben Affleck, et en attendant Shutter island par Martin Scorsese, un autre roman de Dennis Lehane va bientôt être porté à l'écran.


Columbia a en effet acquis les droits de "The given day", alors que celui-ci ne sortira aux États-Unis que le 23 septembre. Lehane est tellement demandé qu'il faut désormais acheter ses romans avant même leur publication...

 


Se déroulant à Boston en 1919, "The given day" montre une ville ravagée par une épidémie de grippe espagnole ramenée d'Europe par les soldats ayant participé à la Première Guerre Mondiale. Dans le même temps, une grève de la police paralyse la ville... Il s'agirait de l'oeuvre la plus ambitieuse de Lehane, qui s'éloigne peu à peu des purs polars qu'il écrivait en début de carrière. 

 

Sam Raimi produira "The given day", et devrait également mettre en scène. Un projet de plus pour le réalisateur après Drag me to hell (qu'il tourne actuellement avec Alison Lohman), "Spider-man 4," et un nouveau Jack Ryan. Cela devrait lui prendre quelques années...(reproduction d'un brève d'ecranlarge.com)

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18 juin 2008 3 18 /06 /juin /2008 08:49
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Pour plus d'informations :
ici
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17 juin 2008 2 17 /06 /juin /2008 22:58

Quelle triste nouvelle que je viens à peine de lire. C'était vraiment un magicien du 7ème art. Le digne successeur de Ray Harryhausen. Paix à son âme.

 


Le gourou des effets spéciaux et du maquillage, Stan Winston, s'est éteint ce dimanche, à Los Angeles. Il était âgé de 61 ans.


Stan Winston est décédé après une lutte de sept ans contre le myélome (une forme sévère de cancer).

Stan Winston fut célèbre pour son travail sur les franchises
Terminator, Jurassic Park et Predator ainsi que sur Edward aux mains d'argent.

Plus récemment c'est lui qui a signé les effets spéciaux de Iron Man et avait commencé à oeuvrer en tant que superviseur sur Terminator 4.

Il a été récompensé par trois Oscars: pour Aliens (1986), Terminator 2: Le jugement dernier (1992) et pour Jurassic Park (1993).

Il avait lui-même dirigé deux films: Le Démon d'Halloween et
Ghosts (clip de MJ)

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17 juin 2008 2 17 /06 /juin /2008 19:05
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17 juin 2008 2 17 /06 /juin /2008 13:55
Un petit robot toujours aussi sympathique à voir.


 










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17 juin 2008 2 17 /06 /juin /2008 08:49


 

 

 


"Coluche" : sortie le 15 octobre.

Réalisateur :
Antoine de Caunes.

Acteurs :
François-Xavier Demaison, Alexandre Astier, Denis Podalydès, Léa Drucker, Olivier Gourmet et Serge Riaboukine.

Genre : comédie dramatique.

Résumé : Septembre 1980. Coluche triomphe tous les soirs au Gymnase. "Comique préféré des Français", il est au sommet de sa gloire ; télés, radios et journaux se l'arrachent, et sa maison est l'endroit où se croise tout ce que le pays compte de vedettes... Toujours prêt à pousser le bouchon un peu plus loin, il décide, pour rire, de poser sa candidature à la Présidence de la République. Très vite, la France se bidonne, l'acclame, le soutient. Les sondages s'affolent, sa cote monte en flèche. Et si finalement un clown se faisait élire Président ? Lui-même commence à y croire...
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16 juin 2008 1 16 /06 /juin /2008 17:43



Je vais commencer cette chronique par une évidence : le cinéma de M. Night Shyamalan divise les cinéphiles. Les louanges font face aux reproches les plus acerbes.

Je suis plutôt de ceux qui apprécient son travail (cependant je n'ai pas vu "
La jeune fille de l'eau"). Plein d'espoir je me suis rendu à la projection de "Phénomènes". Mon impression est partagée, mitigée. C'est l'éternelle question du verre d'eau à moitié plein ou à moitié vide.

"Phénomènes" possédait un extraordinaire potentiel initial. Un sujet fort, des préoccupations écologiques contemporaines. Mais le cinéaste ne transforme pas l'essai. La faute à une narration approximative et à des procédés redondants. J'ai eu la sensation que M.Night Shyamalan abandonnait ses personnages et les spectateurs sur le bord de la route.

Une vague de suicide monumentale déferle sur les grandes villes de la côté nord-est américaine. Les autorités pensent que cette épidémie est due à une attaque terroriste dont le vecteur serait un agent neurotoxique. Un petit groupe de survivants tente d'échapper à la menace. En vain. Le nombre de rescapés fond comme de la neige au soleil. Loin d'être une agression terroriste extérieure, le mal semble être du à des causes naturelles...

Comme je viens de le souligner, le postulat de départ de "Phénomènes" est brillant, innovant mais le résultat, cinématographiquement parlant, est bien loin d'être satisfaisant. L'explication à ces phénomènes est résolue en deux coups de cuillère à pot. Le long métrage dure à peine 1h30. J'aurai aimé que le cinéaste prenne plus de temps pour installer les différents éléments de l'intrigue, ses personnages. Et que la toile de fond scientifique soit plus dense, plus sérieuse et pas traitée de manière épisodique et désordonnée.

Sur le plan narratif le film se perd rapidement en route. La fuite de notre poignée de survivants ressemble à s'y méprendre à "
La guerre des mondes", l'inutile et déplaisant remake de Steven Spielberg. Nos protagonistes fuient. M.Night Shyamalan empile les scènes de suicide. L'intérêt de ces passages est déjà bien loin à ce moment du long métrage, tant le procédé répétitif finit par nous lasser. Les personnages évoluent dans une sorte de happening géant. A l'évidence il manque un axe majeur clair et une direction d'acteurs assumée et imposée.

D'entrée de jeu (enfin de film) des êtres humains se suicident par dizaines. Je me suis dit bien naïvement que ces premiers morts étaient une sorte d'amuse bouche et qu'ensuite l'horreur allait monter en puissance histoire de nous offrir des moments absolument sanguinolents. Que nenni.

Les suicides ultérieurs restent bien propres sur eux, bien gentillets. Quelques rares situations (des habitants d'une petite ville pendus à l'entrée de leur bourgade) sont intéressantes mais le reste est bien famélique. La déception vient aussi du fait que les annonceurs ont eu le tort de concentrer (toutes) les images sensées nous impressionner dans des bandes annonces. Des passages que nous avons toutes et tous vus à de nombreuses reprises au cours des semaines écoulées. La surprise ne joue plus du tout. Des instants attendus sans véritable passion.

Côté casting, la défaillance est de taille.
Mark Wahlberg surjoue et Zooey Deschanel massacre son personnage. Et que dire de la présence météorique de l'excellent John Leguizamo, expédié ad patres trop rapidement.

"Phénomènes" aurait pu être l'un des films de cette année 2008. A l'image d'un "
Je suis une légende" dont la dimension religieuse plombait le dernier quart d'heure du film, les mises en gardes écologiques de M.Night Shyamalan font sourire, pour ne pas dire plus. Son besoin de nous asséner des leçons de morale va finir par en lasser plus d'un.

Nous savons que l'Homme est le plus grand pollueur, la pire menace pour la terre. Pas besoin de ce film pour que nous soyons sur nos gardes. "Phénomènes" peut-il se concevoir comme un avertissement sérieux ?. Pas sûr que l'impact soit réel, car ces préoccupations si justes soient-elles, sont engluées dans un thriller écolo dont la mise en scène fait relâche.

"Phénomènes" risque de faire perdre du crédit aux défenseurs du cinéaste et renforcer ses détracteurs dans leurs certitudes. Pas sûr que le réalisateur sorte gagnant de ce nouveau combat avec la critique.

Dommage car je me répète : le long métrage possédait tous les éléments qui distinguent un chef d'oeuvre d'un obscur nanard.
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