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Par Samom
L’ajout d’un second film faisant le lien entre "Bilbo" et "Le Seigneur des Anneaux" apporte la possibilité d’un retour du sorcier Saroumane. Christopher Lee, du haut de ses 86 ans, est une véritable encyclopédie de l’œuvre de Tolkien. Il a donc évoqué le sujet avec enthousiasme.
« J’ai lu ces livres de très nombreuses fois. A l’origine, Saramoune le Blanc et les autres sorciers, les Istari, étaient immortels. Il y en avait cinq, dont deux qui n’interviennent jamais, je connais leurs noms mais ils ne sont pas dans l’œuvre. Les trois qui sont mentionnés sont Saroumane le Blanc, Gandalf le Gris et Radagast le Brun, que l’on ne voit jamais. En clair, il n’y a que deux sorciers. »
« Ils ont vécu pendant des milliers d’années, ils ont été envoyés sur Terre et ils sont quasi immortels. Quand tout a commencé, Saroumane était le plus noble, le plus brave, le plus juste d’entre eux, il était le premier. Mais à un moment, et ce n’est jamais vraiment expliqué, il a changé. C’est probablement le Palantir (la boule de cristal des sorciers) qui a donné l’impression à Saroumane qu’il pouvait faire la même chose que Sauron. Saroumane veut devenir le seigneur des anneaux lui-même. »
« Je serais intéressé de savoir comme ce passage du Bien vers le Mal s’est effectué. Oui, bien sûr, je reprendrais le rôle si on me le demande. » (ecranlarge.com)
Le metteur en scène culte de Blow Out et Phantom of Paradise, Brian De Palma, n'a pas connu le plébiscite du public depuis son Mission : Impossible, nous ramenant en cette douce année de 1996. Le vent soufflera peut être de nouveau avec son remake de L'Etrangleur de Boston (1968) de Richard Fleischer, dont il se chargera bientôt.
Pour ceux qui ignorent de quoi il retourne, il est question de l'un des faits divers les plus troublants des années 60, où la ville d'est américaine connaît une vague de meurtres féminins (treize en tout) à fortes connotations sexuelles. Un suspect a fini par être arrêté, Albert DeSalvo, un père de famille d'une trentaine d'années sans histoires qui avoua les faits.
L'affaire continue aujourd'hui de susciter le doute et la controverse, DeSalvo n'ayant jamais été officiellement déclaré coupable, faute à son décès prématuré en prison (poignardé par un autre détenu). L'occasion pour le maître du suspense de revoir et corriger cette sordide et obscure histoire. Le scénario, signé Alan Rosen, est adapté du roman de Susan Kelly :The Boston Stranglers : The Public Conviction of Albert DeSalvo and the True Story of Eleven Shocking Murders.
En attendant on vous invite à voir ou revoir l'original, connu pour son utilisation ingénieuse du split-screen et de la performance glaçante de Tony Curtis. (cinema-france.com)
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