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10 juin 2008 2 10 /06 /juin /2008 14:06

 Hier soir mon PC est tombé mon rade (UC fonctionne mais écran noir, problème de carte graphique ?). Je ne sais pas combien de temps durera cette situation. J'espère que votre attente ne sera pas trop longue.

A plus les ami(e)s.

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10 juin 2008 2 10 /06 /juin /2008 09:48

 


 

 

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9 juin 2008 1 09 /06 /juin /2008 18:21


Une évidence s’impose : l’Asie est une terre l’élection pour le cinéma du 21ème siècle, un vivier incroyable. Dernier petite merveille en date : "Sparrow" de Johnnie To, sorti mercredi dernier dans quelques salles. Merci aux distributeurs qui ont eu le courage de programmer ce film dans l’hexagone.

Ami spectateur ne te trompe pas : "Sparrow" n’est pas un film où tu verras des fusillades embrouillées et des meurtres sanglants toutes les quinze secondes, tu ne seras pas non plus plongé au coeur d’un joyeux bordel (que j’aime par-dessus tout par ailleurs). "Sparrow" raconte au contraire une jolie histoire, une fable des temps modernes dont l’esthétique visuelle frôle la perfection.

A Hong Kong, Kei (
Simon Yam) est un sparrow, un pickpocket de génie qui arpente la péninsule chinoise en compagnie des 3 autres membres de son gang et qui détrousse touristes étrangers et passants chinois.

Son principal loisir est la photo. Au cours de prises de vue il croise une belle et mystérieuse inconnue (
Kelly lin). La jeune femme séduit tour à tour les autres membres de la bande. Son but est que ces hommes mettent leurs dons à sa disposition pour récupérer un objet contenu dans un coffre.

L’intérêt du film est double. Sur le fond "Sparrow" développe une histoire simple. La trame reste secondaire. "Sparrow" n’est pas un film de truands de plus. Johnnie To s’attache à donner de la profondeur à ses personnages et s’ingénie à fabriquer un puzzle où chaque élément a sa place. Même si ce sont des malfrats, les pickpockets nous apparaissent sous un jour bien sympathique. Ces hommes sont attachants. Leur brio nous ravissent et leurs infortunes passagères nous donnent le sourire. Et comme je dis souvent, les comédiens, qui ont l’air de s’entendre à merveille, mettent leur immense talent au service de ces bandits qui ont du coeur.

Sur la forme, "Sparrow" est une merveille de précision. Johnnie To balade sa caméra ici ou là tel un esthète. L’outil va partout. Le réalisateur use de procédés techniques pour donner du corps à son histoire. Plans séquences (à l’image de la scène d’ouverture du long métrage), gros plans, ralentis appuyés (la longue scène quasi mystique des "parapluies").

"Sparrow" ne ressemble à aucun autre long métrage. Je pense qu’il faut le vivre comme une expérience cinématographique hors du commun. Johnnie To modèle une comédie matinée de romantisme. Son oeuvre est crédible car rarement une technique n’aura été autant maîtrisée.

"Sparrow" est aussi un ballet et Johnnie To est un chorégraphe qui fait voleter chaque élément comme il le souhaite. Avec ce film, le réalisateur fait une nouvelle fois preuve de son savoir faire et entre de plein pied dans la cour des grands.

Un long métrage frais, ingénieux. Une histoire d'aujourd'hui. Une poésie cinématographique à voir absolument.
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9 juin 2008 1 09 /06 /juin /2008 12:15
ça ne chome pas sur la planète Besson...



 

 

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8 juin 2008 7 08 /06 /juin /2008 20:40
Après "[Rec]" et avant "Quarantine" son remake, voici l'affiche de "[Rec 2]". On en frissonne d'avance.




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8 juin 2008 7 08 /06 /juin /2008 18:47









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8 juin 2008 7 08 /06 /juin /2008 13:38
Le site ecranlarge.com a eu la très bonne idée de mettre en ligne des extraits des plus beaux combats cinématographiques de Jean-Claude Van Damme à l'occasion de la sortie de "JCVD".

Des moments d'anthologie que nous aimons tous. Un athlète, un acteur au top de sa forme. Qu'importe ce que disent les bourgeois de la chronique cinéma, nous t'aimons tous. Vive Jean-Claude.

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"Universal Soldier"




 

 

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8 juin 2008 7 08 /06 /juin /2008 06:04
Le cinéaste transalpin Dino Risi, considéré comme le père de la comédie italienne, est décédé ce samedi à Rome à l'âge de 91 ans. Réalisateur fétiche de Vittorio Gassman, il avait notamment signé "Le Fanfaron" et "Les Monstres".
Une grande figure du cinéma transalpin s'est éteinte ce samedi 7 juin à Rome. Le cinéaste Dino Risi, considéré comme le père de la comédie italienne, est décédé à l'âge de 91 ans. Réalisateur fétiche de Vittorio Gassman, il avait notamment signé Le Fanfaron et Les Monstres.
Fils de médecin, Dino Risi aurait pu devenir psychiatre, ayant réussi à obtenir son doctorat. Mais à dix ans, il découvre le septième art grâce à un ami, fils du consul de Grèce, qui possède une carte donnant accès à tous les cinéma de Milan. Et, surtout, il rencontre en 1940 le réalisateur Alberto Lattuada dans la boutique d'un ami. Ce dernier lui propose d'occuper le poste d'assistant-réalisateur sur le film de Mario Soldati, Le Mariage de minuit, puis sur le sien, Giacomo l'idéalista. Risi remplit ces deux fonctions bénévolement.
Après la guerre, Dino Risi se met à écrire des critiques cinématographiques dans la presse locale en parallèle à son activité de psychiatre, vite abandonnée. Il réalise une trentaine de documentaires et de courts, dont l'un, Buio in sala, est repéré par le grand producteur Carlo Ponti. Il s'installe ensuite à Rome, où il écrit le scénario d'Anna de Lattuada. En 1952, Vacanze col gangster marque son passage au long-métrage, suivi l'année suivante par la comédie Vialle della speranza. Il prend la relève de Luigi Comencini pour clore sa trilogie avec Pain, amour, ainsi soit-il et Le Signe de Vénus, avec Sophia Loren. Le succès arrive avec Pauvres mais beaux réalisé en 1957, mais la véritable consécration intervient en 1960 grace à L'Homme aux cent visages, la première collaboration entre Dino Risi et celui qui va devenir son acteur fétiche, Vittorio Gassman.
C'est alors le début d'une activité frénétique où le cinéma italien consolide sa légende, permettant à Risi de donner la pleine mesure de son talent. Toujours en 1960, il confronte Jean-Louis Trintignant à Gassman dans Le Fanfaron. Sans quitter le ton de la comédie, le cinéaste se fait plus grave en 1961 avec Une vie difficile, où il narre les désillusions d'un journaliste. La satire du facisme La Marche sur Rome lui donne l'occasion de réunir ses fidèles, Gassman et Ugo Tognazzi en 1962. Il renouvelle l'expérience l'année suivante avec le film à sketches Les Monstres. Dino Risi aborde les années 1970 avec La Femme du pretre, une comédie où il prend l'Eglise pour cible avec la collaboration de Sophia Loren et Marcello Mastroianni. En 1974, il réalise Parfum de femme, qui sera adapté en 1992 par Martin Brest sous le titre de Le Temps d'un week-end, avec Al Pacino et Chris O'Donnell.
Le cinéma de Dino Risi (père de Marco Risi) se fait de plus en plus sombre et oppressant, tout en restant ironique. En 1981, il enlaidit Romy Schneider pour les besoins de Fantôme d'amour, où l'on retrouve encore Marcello Mastroianni. En 1984, il tourne Le Bon roi Dagobert avec Coluche, qui tient également l'affiche du Fou de guerre en 1985. Valse d'amour, tourné en 1990, est la dernière collaboration avec son compère Vittorio Gassman. Trois ans plus tard, le Festival de Cannes rend hommage à Dino Risi avec une rétrospective et en 2002, "L'Homme aux 80 films" reçoit un Lion d'Or à la Mostra de Venise pour l'ensemble de sa carrière.(Allociné.fr)



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7 juin 2008 6 07 /06 /juin /2008 19:22
Désolé je n'ai lu la nouvelle que ce matin.

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Lundi 2 juin, Mel Ferrer est mort dans une résidence pour convalescents de Santa Barbara. Il avait 90 ans. Il avait fait carrière comme acteur, producteur et réalisateur.
Après des études à l'université de Princeton, Mel Ferrer travail d'abord pour un journal local dans le Vermont. Il se tourne très vite vers la scène et participe, dès 1938, en tant que danseur, à deux comédies musicales sur les planches de Broadway. Un temps disc-jockey, il devient producteur pour la chaîne de télévision NBC. Il se tourne rapidement vers le cinéma et réalise un modeste premier film à petit budget, The Girl of the Limberlost (1945). Deux ans plus tard, il est premier assistant de John Ford sur Dieu est mort.

Mel Ferrer entame une carrière d'acteur en 1949 avec Frontières oubliées, laquelle lui apportera une plus grande reconnaissance que son travail de cinéaste. Mel Ferrer débute en tous les cas une carrière prometteuse. Le premier tournant intervient avec La Corrida de la peur en 1951. Repéré par la MGM pour son rôle de matador, Ferrer obtient son premier grand rôle, celui du cruel Marquis de Maynes dans Scaramouche. La même année, en 1952, il tourne sous la direction de Fritz Lang dans L'Ange des maudits. C'est pourtant son rôle aux côtés de Leslie Caron dans la comédie musicale Lili qui fait de lui une star. Les années 50 seront très faste à la carrière de Mel Ferrer. On le retrouve chez Jean Renoir dans Elena et les Hommes, chez Richard Thorpe dans Les Chevaliers de la table ronde, ou auprès d'Ava Gardner dans Le Soleil se lève aussi.

Lors de la première mondiale à Londres de Vacances romaines, Mel Ferrer rencontre Audrey Hepburn, à qui il propose un rôle pour la pièce de théâtre Ondine qu'ils joueront ensemble à Brodway pendant l'hiver 1953-54. Audrey Hepburn tombe enceinte et ils se marient en septembre de l'année 54. Malheureusement pour le couple, l'actrice est victime d'une fausse couche. Hepburn se remet très vite au travail et rejoint son mari sur le casting de Guerre et paix de Vidor. Plus tard, Ferrer mettra son épouse en scène dans le quatrième de ses cinq films, Vertes demeures, en 1959. L'année suivante, Audrey Hepburn met au monde Sean, l'unique enfant du couple. Jeune papa, Ferrer tourne dans Les Mains d'Orlac (1961) puis dans Le Jour le plus long (1962) et La Chute de l'empire romain (1964).

Malgré le prestige de ces quelques films, Ferrer commence, à l'aube des années 60 à enchaîner les tournages de films bis. La tendance va se confirmer après le divorce de Ferrer avec Hepburn, après quatorze années de mariage, en 1968. C'est principalement en Italie que Ferrer décide de poursuivre sa carrière, notamment avec Umberto Lenzi : La Secte des cannibales, L'Avion de l'apocalypse... En 1976, Tobe Hooper lui confie le premier rôle du Crocodile de la mort. Ferrer effectuera ensuite quelques apparitions surprenantes, dans Mille milliards de dollars de Henri Verneuil (1981) ou même chez Fassbinder via Lili Marleen (1982). En 1989, il tourne son dernier long métrage, L'Oeil de la veuve, avant de disparaître de la scène publique.
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7 juin 2008 6 07 /06 /juin /2008 12:58


 

 

 


Une bande annonce et Des affiches (1) (2)
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