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22 juin 2008 7 22 /06 /juin /2008 19:54
Vous l'avez sans doute remarqué : overblog a ramé sévère aujourd'hui.

-Difficultés pendant plusieurs heures pour accéder à son administration.

-Lenteur d'ouverture de certains blogs.

-Impossibilité de laisser des commentaires ou  attente éxagérée.

Si vous avez éprouvé des problèmes pour lire mes articles, auriez vous l'extrême obligeance de m'en faire part.

Merci d'avance.

ps : si les commentaires ne marchent pas. Servez vous de la cbox à gauche.
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22 juin 2008 7 22 /06 /juin /2008 19:00
Plus que quelques jour à patienter avant de nous replonger au coeur du monde de Narnia et de faire la connaissance du Prince Caspian. Rêvons ensemble quatre minutes avec ces images.




 

 


Autre bande annonce :
ici

Dans les coulisses :
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22 juin 2008 7 22 /06 /juin /2008 14:00
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Ce matin j’ai regardé en DVD "Sisters" de Douglas Buck, remake de l’excellent et troublant "Sœurs de sang" du maître Brian de Palma.

Et je dois dire que je me suis ennuyé ferme. "Sisters" est purement et simplement un navet. Le scénario est bancal, mal ficelé. On n’y croit pas une seconde alors que le matériau de base était pourtant formidable.

Le réalisateur a voulu partir dans une direction différente de l’original et cela se voit à l’écran. L’ensemble est mal filmé, mal cadré. Le rythme est lent, ennuyeux. Le suspense inexistant. Aucune atmosphère. Point de frisson.

Et que dire du "twist" final incompréhensible qui plonge le spectateur dans un océan de regrets et qui donne le coup de grâce à ce film qui n’en avait pourtant pas besoin.

Côté casting c’est le néant total :
Stephen Rea, que j’adore au demeurant, est pathétique, Chloë Sevigny a l’air de ramer sévère quant à Lou Doillon elle massacre son personnage.

Un film chiant. A éviter. A oublier.

Je n’aime pas "descendre" un long métrage de cette manière mais là on est quand même à la limite du scandale. Comment un tel projet aussi foireux a-t-il pu naître et obtenir des subsides ? Mystère.

"Sœurs de sang" est à revoir d’urgence.
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22 juin 2008 7 22 /06 /juin /2008 09:18


 

 

 

 


"Glory to the filmmaker" : sortie le 16 juillet.

Réalisateur : Takeshi Kitano.

Genre : expérimental, comédie dramatique.

Résumé : Takeshi Kitano joue son propre rôle et revisite son cinéma dans cet exercice d'introspection et d'autodérision. Il explore avec beaucoup d'humour différents genres, du film d'horreur au récit historique en passant par la science-fiction...
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21 juin 2008 6 21 /06 /juin /2008 18:47
Après le teaser, voici la bande annonce.




 

 

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21 juin 2008 6 21 /06 /juin /2008 14:02









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21 juin 2008 6 21 /06 /juin /2008 08:58
Avant "Sans Sarah, rien ne va!", j'ai vu la bande annonce de "Valse avec Bachir". J'ai trouvé ces images très intéressantes, intrigantes.

Si mon cinéma "préféré", dans sa quête de la non-prise de risques, daigne le programmer j'irai certainement le voir. Un long métrage qui a impressionné les festivaliers de la croisette et qui risque de faire son bonhomme de chemin grâce au bouche à oreille.





 

 

 

"Valse avec Bachir" : sortie le 25 juin.

Réalisateur :
Ari Folman.

Genre : animation.

Résumé :
Un soir, dans un bar, un vieil ami raconte au réalisateur, Ari Folman, un rêve récurrent qui vient hanter toutes ses nuits et dans lequel il est poursuivi par 26 chiens féroces.

Toutes les nuits, le même nombre de chiens. Les deux hommes en concluent qu’il y a certainement un lien avec leur expérience commune dans l’armée israélienne lors de la première guerre du Liban, au début des années 80. Ari est surpris de n’avoir plus aucun souvenir de cette période.

Intrigué, il décide de partir à la rencontre de ses anciens camarades de guerre maintenant éparpillés dans le monde entier. Afin de découvrir la vérité sur cette période et sur lui-même.

Au fur et à mesure de ses rencontres, Ari plonge alors dans le mystère et sa mémoire commence à être parasitée par des images de plus en plus surréalistes...
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20 juin 2008 5 20 /06 /juin /2008 19:06

 

 


 


Synopsis : Ce nouvel opus reprend exactement là où le précédent s'est terminé. Sarah sort seule d'un réseau de cavernes après une expédition avec ses cinq amies. Blessée, couverte du sang de ses partenaires, elle est incohérente et terrorisée.

Sceptique sur les évènements qui se sont déroulés et convaincu que la psychose de Sarah cache des secrets plus sombres, le shérif Vaines la force à se rendre à nouveau dans les cavernes afin de l'aider à localiser le reste du groupe.

Piégée par des chutes de rochers, la mission de sauvetage doit s'enfoncer plus profondément et, alors que le sort de chaque fille disparue est découvert, Sarah est forcée de se confronter à ses peurs les plus profondes..

Dans la version américaine du
premier film Sarah sort bien des grottes alors que dans la version "européenne" du long métrage, cette sortie prend la forme d'un rêve.

A chaque fois qu'une brève concerne "The Descent 2", je ne peux pas m'empêcher de vous proposer à nouveau mon petit travail de rippage et d'encodage concernant justement cette fameuse scène de "sortie".

Cher nouveau lecteur, ce passage est pour toi.

 


the descent
envoyé par samom78

 

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20 juin 2008 5 20 /06 /juin /2008 14:54


 

 

 



"
Religious" : sortie le 5 novembre.

Réalisateur :
Larry Charles.

Acteurs : Bill Maher.

Genre : documentaire.

Résumé : Le constat de Bill Maher sur l’état des religions, et des religieux, de par le monde.



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20 juin 2008 5 20 /06 /juin /2008 08:08
Rude semaine pour le cinéma...



Sa licence de lettres en poche, Jean Delannoy hésite entre le journalisme, la banque et la décoration, puis finit par choisir... le cinéma ! Un milieu déjà fréquenté par sa soeur, Henriette, comédienne, et qu'il intègre d'abord en tant qu'acteur (notamment dans Casanova, réalisé par Alexandre Volkoff), avant de se tourner vers le montage. C'est par ce biais qu'il commence à se faire un nom, et se voit confier, dès 1933, la réalisation de courts et moyens métrages. L'anée suivante, il dirige son premier long : Paris-Deauville , dans lequel il dirige Armand Bernard, Georges Bever et Marguerite Moreno.

Outre ses collaborations avec Jacques Deval (Club de femmes, 1936) et Felix Gandera (Tamara la complaisante, 1937; Le Paradis de Satan, 1938), Jean Delannoy signe, seul, la réalisation de films qui, comme Macao, l'enfer du jeu (1939), Le Diamant noir (1940) ou Pontcarral, colonel d'Empire (1942), symbolisent son penchant pour le mélodrame et le film d'aventures. Mais c'est pendant l'Occupation, en 1943, que sa carrière connaît un tournant, lorsqu'il s'associe à Jean Cocteau pour donner vie à L'Eternel Retour : tandis que le poète-réalisateur écrit cette version moderne du mythe de Tristan et Yseult, Delannoy met en scène Jean Marais et Madeleine Sologne dans un style très différent de celui qui était le sien, et rencontre un grand succès. Il accède ainsi à une célébrité qu'il ne fera que renforcer, par la suite, avec Le Bossu (adapté par Paul Féval lui-même), La Symphonie pastorale (qui lui vaut de diriger Michèle Morgan), Les jeux sont faits, Le Secret du Mayerling ou encore Notre-Dame-de-ParisVictor Hugo, avec Anthony Quinn, Gina Lollobrigida et Alain Cuny dans les rôles principaux.

Si les années 50 débutent en beauté avec le Prix International décerné à Dieu a besoin des hommes (1950) lors de la Biennale de Venise, la décennie restera surtout celle de son désaveu par quelques uns des futurs chefs de file de la Nouvelle Vague. Mais, bien que décrié pour son académisme au fil des lignes de l'article incendiaire de François Truffaut paru dans Les Cahiers du Cinéma, cette figure du "cinéma de papa" n'en continue pas moins de tourner, accentuant un peu plus la variété des sujets qui caractérisent son oeuvre. C'est ainsi qu'il va naviguer entre Le Garcon sauvage (1961) et La Princesse de Cleves (lauréat du Grand Prix du Cinéma Français en 1961), en passant par Maigret tend un piège (1957) et Maigret et l'affaire Saint-Fiacre (1959), et qu'il confirme sa fidélité envers des comédiens tels que Jean Gabin, Michèle Morgan ou Jean Marais.

Après des années 60 plutôt prolifiques (Venus Impériale, 1961; Les Amitiés particulières, 1962; Les Sultans, 1966...), Jean Delannoy réalise un seul long métrage (Pas folle la guêpe) avant de délaisser le grand écran au profit du petit, pour lequel il met notamment en scène des adaptations de Hamlet ou Manon Lescaut. Il revient au cinéma à la fin des années 80 pour mettre en scène la vie de Bernadette Soubirous (Bernadette, 1988), puis complète sa "trilogie religieuse" avec La Passion de Bernadette (1989) et Marie de Nazareth (1994), son dernier film. (1956), nouvelle adaptation du roman de

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