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25 septembre 2007 2 25 /09 /septembre /2007 22:39
joyeuses-fun--railles.jpg

Aujourd’hui j’ai aussi vu «Joyeuses funérailles»

J’y suis allé sur la pointe des pieds et avec beaucoup de doutes car je me méfie des accroches tapageuses du style « la comédie british la plus mortelle de l’année ».

Mais en toute honnêteté le film m’a agréablement surpris. J’ai ri une bonne partie du film. Il n’y a pas de gags lourds et graveleux. Le scénario est original. Les situations sont d’une grande originalité et la galerie de personnages (un oncle sec comme un coup de trique, un futur gendre toxicomane malgré lui, un nain homosexuel et maître chanteur) est à croquer.

Que de bons moments j’ai passé en heure et demie. Un film qui ose prendre des risques et envisage un enterrement, l’un des événements les plus sinistres de la vie, sous l’angle de la comédie.

Un long métrage qui s’appuie sur un casting judicieux fait de talents confirmés et de jeunes prometteurs. Une vraie réussite au final.

Je recommande ce film à toutes celles et à tous ceux qui veulent passer un après midi ou une soirée agréable. Seule mise en garde : l’univers de la comédie anglaise est assez particulier. Parfois des spectateurs ont du mal à y adhérer.

Mon conseil : entrer de plein pied dedans et éclatez vous.
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25 septembre 2007 2 25 /09 /septembre /2007 16:07
 
Introduction : c’est la deuxième fois que je rédige cette chronique aujourd’hui. Je n'avais pos fait de sauvegarde et Overblog m'a bien puni.

Je vais essayer de faire appel à mes souvenirs pour retrouver la structure de mon article. Je ne garantis plus la spontanéité du « premier jet »

«Poignant» est le mot auquel j’ai pensé quand je suis sorti de la salle après avoir vu « Un cœur invaincu ». Un film qui raconte le combat d’une femme, Mariane Pearl, qui cherche à retrouver son Mari, Daniel, enlevé le 23 janvier 2002, par un groupe de fondamentalistes au Pakistan.

Ce fait divers m’a choqué à l’époque. Un jeune homme brillant, un journaliste consciencieux, apprécié par la profession de Paris à New York en passant par le Moyen-Orient, est enlevé, détenu et finalement exécuté par ses tortionnaires avec la plus grande des barbaries. Mort pour avoir voulu faire son travail jusqu'au bout. Le couple devait quitter le Pakistan le lendemain du rapt.

Les images de sa décapitation ont fait le tour de la cyber-planète.

Les motifs de cet enlèvement : selon ces geôliers, Daniel Pearl, juif de confession mais non pratiquant, aurait été un sbire de la CIA ou du MOSSAD. Chose rare à l’époque, la célèbre agence américaine de renseignements avait publié un communiqué officiel pour démentir toute appartenance du journaliste à ses services

Ces faits sont du domaine public. Au-delà de ce tragique événement se trouve le combat intime, personnel, pudique mais déterminé que mena sa femme Mariane pour « ramener Daniel à la maison » (expression entendue dans le film). Une lutte qui dura plusieurs jours. Avec un séisme personnel à la clé.

Le film met en lumière l’imbrication de ces deux univers : d’une part la sphère privée : la femme de Daniel Pearl, sa famille, ses ami(e), ses collègues de la communauté journalistique et de l’autre : les services gouvernementaux pakistanais et américains qui luttèrent avec la plus ferme des énergies pour suivre la moindre piste ou le moindre suspect.

Le long métrage rend hommage à ces hommes qui mirent leur cœur et leur âme au service d’un occidental enlevé sur une terre d’Islam. L’un des directeurs de l’enquête déclare à un moment donné que « le meurtre d’un journaliste américain salirait son pays, le Pakistan ».

Leur acharnement fut couronnée en partie de succès : certains des commanditaires et des exécutants sont depuis derrière les barreaux. Le principal suspect attend dans le couloir de la mort. Sa cause est actuellement en appel.

Au passage le sous-entendu est : au Pakistan, il n’y a pas que des terroristes islamiques, des fous de Dieu, prêts à tout, il y a aussi (et surtout) des hommes et des femmes qui se battent pour que Justice soit faite.

Aux sceptiques : Angelina Jolie EST Mariane Pearl. En quelques secondes, la star internationale s’efface et le personnage meurtri apparaît. Elle campe avec justesse et émotion une femme touchante, blessée, mais jamais abattue. Dans l’une des dernières scènes du film Mariane Pearl, malgré sa vive douleur, remercie toutes les personnes qui ont œuvré à ses côtés, en ajoutant que durant cette période (une dizaine de jours) 11 citoyens pakistanais sont morts à cause du terrorisme aveugle. Elle n’est pas la seule à subir la stupidité des hommes.

J’ai déjà vu dans ma vie plusieurs milliers de films mais l’une des scènes m’a glacé d’effroi. Quand Mariane Pearl apprend officiellement la mort de son mari, elle pousse des cris horribles à entendre. Angelina Jolie est formidable dans ce passage, l’un des points culminants du long métrage : au lieu de longs discours théoriques, elle donne une vision cauchemardesque du mot « douleur » avec la plus saisissante des énergies.

Malgré tout le film reste porteur d’espoir. L’âme d’un disparu peut survivre au-delà de la mort physique. Le combat de Mariane Pearl, mise en scène de manière remarquable par Michael Winterbottom, n’est pas une quête vaine. Elle se bat pour son fils Adam (elle est enceinte de 5 mois au moment des faits) et pour tous les Daniel Pearl de la terre.

Une œuvre pour que Justice soit faite aux disparus, à leur famille, à leurs ami(e).

Je suis athée mais je me permets de citer avec respect le Talmud.

Ce dernier dit : « Celui qui sauve une vie, sauve l’humanité ».

A l’inverse, selon moi, « Celui qui prend une vie, outrage l’Humanité ».

« A jamais ».
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21 septembre 2007 5 21 /09 /septembre /2007 17:05
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Et après j'ai eu la très mauvaise idée d'aller voir "Shoot'em'up"

Un scénario aussi épais qu'une feuille de papier. Une réalisation en forme de clip vidéo. Un enchaînement de fusillades aussi stupides les unes que les autres. A un moment, on touche même le fond des fonds avec des échanges de coups de feu dans les airs entre parachutistes. RIDICULE.

Côté casting : seul Clive Owen sauve les meubles avec un humour qui fonctionne mais Paul Giamatti est très décevant. Et il faudrait que quelqu'un signale à Monica Bellucci que jouer tout le temps sur le registre du charme et des atouts de la vie finit par lasser. Elle a surement d'autres facettes à son talent.

N'allez pas voir ce film en salles. Il ne vaut pas 8 ou 10 euros dépensés. Il sera parfait pour une deuxième partie de soirée sur M6.

L'horreur.
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21 septembre 2007 5 21 /09 /septembre /2007 16:07
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Aujourd'hui j'ai vu "28 semaines plus tard", la suite de "28 jours plus tard".

Enfin un film attendu cette année et qui ne me deçoit pas. Un long métrage génial. Le pari était de taille. Comment franchir une étape supplémentaire dans l'horreur physique et la terreur psychologique sans refaire un premier opus bis ?


Eh bien Mesdemoiselles, Mesdames et Messieurs, ce pari est remporté haut la main. "28 semaines plus tard" s'impose comme une oeuvre qui fera date. J'avais déjà dit que c'était un bonheur que de voir le genre ainsi renouvellé. Depuis "28 jours plus tard", les zombies ne sont plus des créatures amorphes qui errent au hasard sur les routes mais de véritables champions de cent mètres, de véritables machines à tuer.


La vitesse est l'un des maîtres mots de ce film. La contamination s'effectue toujours de manière aussi radicale qu'inéluctable. La réalisation de Juan Carlos Fresnadillo (à qui l'on doit l'excellent "Intacto") est nerveuse, dynamique, offre des angles de caméra qui amènent la terreur pure sans être trop demonstrative.

Certaines scènes sont hallucinantes (la première attaque dans le cottage à la campagne ou la contamination de la foule enfermée ). La volonté des producteurs était d'appeler un étranger pour mettre en scène de manière originale la ville de Londres et de ne pas refaire du Danny Boyle. Le regard est neuf, percutant, précis.

Là encore c'est un succès total. La capitale anglaise nous apparaît comme glauque, incertaine, dangereuse (chaque maison est un foyer de contamination potentiel). La ville (le 1er district) est enfin un piège géant qui se referme sur les protagonistes après avoir été un îlot d'accueil provisoire.
 
Le film joue, je l'ai déjà dit, sur deux choses bien distinctes : l'horreur provoqué par des scènes gore à souhait mais aussi sur la terreur suscitée par des lieux sombres et confinés. L'avant-dernière scène du métropolitain fait monter la tension à son paroxisme.

Le long métrage bénéficie d'un casting judicieux. Robert Carlyle et Rose Byrne (que je trouve charmante au passage) s'imposent par leur jeu sûr et leur présence à l'écran.

Mon seul regret concernant ce film : la transition entre "ouf on est sauvés, le virus à disparu, on peut reconstruire etc..." à "coucou, je suis le virus de retour" est trop rapide. J'aurai aimé voir, un rien sadique, les survivants reprendre une vie tout à fait normale, aller au travail, retrouver la civilisation des loisirs, afin que la chute n'en soit que plus dure et plus difficile à encaisser. Simple nuance de ma part mais en aucun cas un handicap.

Le film est magistralement réalisé. Une heure et trente minutes qui alternent action pure et moments pénibles pour les claustrophobes.

En espérant qu'il y aura une suite. Des films comme celui-là sont à voir et à revoir. Le temps fera son oeuvre. Les deux longs métrages deviendront à coup sûr des classiques.

Un moment inoubliable de cinéma.

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17 septembre 2007 1 17 /09 /septembre /2007 14:36
LE-GOUT-DE-LA-VIE.jpg

Aujourd'hui je suis allé voir "Le goût de la vie", remake hollywoodien de "Chère Martha", long métrage allemand sorti en 2004.

C'est une très bonne comédie romantique qui commence par un drame et qui finit de manière très heureuse. Littéralement parlant en "Happy end". C'est une catégorie de films qui rebute parfois les cinéphiles. Mais cela fait du bien quand même.

Un film agréable à voir. Une histoire touchante. La morale de ce film est : la vie triomphe toujours. Des existences bouleversées (une petite fille devenant orpheline de manière soudaine, sa tante, chef renommée d'un grand professionnalisme mais vivant dans un désert affectif) peuvent se reconstuire malgrè tout.

Une oeuvre qui est aussi un hommage à la grande cuisine. Quel plaisir pour les sens. Les cuisines d'un grand restaurant sont vraiment un univers fascinant.

Catherine Zeta-Jones rayonne tout au long de ce long métrage. Aaron Eckhart apporte sa fougue et son côté charmeur. La jeune Abigail Breslin, nouvelle coqueluche d'Hollywood depuis "Little Miss Sunshine" est touchante. Les enfants stars deviennent à de rares exceptions (Jodie Foster) de grands comédiens. Mais nul doute que cette charmante petite fille a un immense potentiel.

Vous passerez certainement un bon moment.


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13 septembre 2007 4 13 /09 /septembre /2007 16:22
KING-OF-CALIFORNIA.jpg


Ensuite j'ai vu "King of California". Une fable des temps modernes, qui se double d'un portrait, pour une fois original, des relations père-fille.

Un scénario brillant, une histoire touchante, et surtout un couple d'acteur qui fonctionne en parfaite harmonie. Michael Douglas est vraiment inspiré dans ce film. Son personnage de doux-dingue partant à la recherche d'un trésor perdu est formidable. Son jeu est juste, mesuré et fait mouche. Son pendant féminin, interprété par la jolie Evan Rachel Wood (pour moi une révélation et qui n'a pas fini de faire parler d'elle), est étonnnate en soutien de "famille" en proie aux obséssions de son père. Sa composition (assurance, maîtrise du jeu) étonne. Elle n'a pourtant que 20 ans.

Un long métrage inspiré, un duo atendrissant, une histoire originale. Un excellent moment de cinéma. Une pétite cinématographique.

A consommer sans modération
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13 septembre 2007 4 13 /09 /septembre /2007 15:40
la-vengeance-dans-la-peau.jpg

Aujourd'hui j'ai pris une claque cinématographique.

Je suis allé voir "La vengeance dans la peau", troisième volet des aventures de Jason Bourne. Je n'emplois pas le mot "suite" car il y a une subtilité scénaristique. Mais je vous laisse la découvrir.

Deux heures d'un spectacle total. Une histoire finement ciselée. J'ai pris un énorme plaisir à retrouver les principaux personnages, le monde de l'espionnage et du renseignement technologique. Le rythme va crescendo, pas de temps mort. Chaque scène apporte son lot de surprises.

La réalisation de Paul Greengrass est à la hauteur. Sa parfaite maîtrise de chaque situation se traduit à l'écran. Les moments d'action pure sont d'un incroyable niveau. Les poursuites de Tanger et de New-York marqueraont à coup sûr les esprits.

Matt Damon éclate encore dans ce rôle. Son personnage est brillant, lucide, calculateur, précis et surtout impitoyable. La recherche de son passé lui fait renverser des montagnes. Joan Allen brille aussi de son côté par son professionnalisme, elle campe avec justesse une femme décidée à faire éclater la vérité tout en faisant son travail. Julia Stiles apporte sa touche de feminité dans cet univers masculin. Les scénaristes ont eu raison de ne pas s'apesantir sur les relations supposées (il y a quand même quelques indices) entre Nicky et Jason Bourne. Un traitement inverse de cette relation aurait donné au film un petit côté sentimental et fleur bleue qui aurait été tout à fait deplacé.

A l'opposé David Strathairn donne de l'épaisseur à son personnage de Directeur Adjoint du FBI farouchement décidé à traquer sans relâche Jason Bourne. A ce casting principal s'ajoute des hommes de l'ombre, des agents, des tueurs qui sont de véritables machines de guerre.

Sur le plan cinématographique ce long métrage est une totale réussite. Un vrai bonheur pour les cinéphiles. De quoi terminer (?????) une trilogie en beauté.

J'étais un fan de la première heure dès la sortie de "La mémoire dans la peau". J'ai envie de revenir aux sources de cette fantastique saga en lisant les romans éponymes de Robert Ludlum.

ps : je suis parfois trop enthousiaste avec un film. C'est l'inconvénient d'écrire une chronique "à chaud" mais quand j'aime je ne compte pas. Avec le temps je découvre certains défauts. Enfin ce matin j'ai pris un panard TOTAL.


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7 septembre 2007 5 07 /09 /septembre /2007 17:38
ratatouille.jpg

Puis j'ai vu "Ratatouille".

Magistral, énorme, magnifique. Une animation d'une fluidité incroyable. On est vraiment avec "Rémy" le rat dans le moindre de ses déplacements. De l'action, de la passion, de l'humour, une ode à la grande cuisine (française) et à Paris.

Un vrai régal pour les cinéphiles et les gourmets.

Ps : un seul regret. Le mariage entre la technologie (Pixar) et une firme au passé prestigieux (Disney) a donné naissance depuis quelques années à des longs métrages d'une perfection technologique évidente mais qui suscitent moins (enfin à mon sens) une certaine forme de poésie que par le passé.

Mais ce n'est que MA vision des choses.

"Ratatouille" reste une oeuvre prodigieuse.

ps : j'ai attendu plusieurs semaines pour voir ce dessin animé. Je voulais éviter les cris, les larmes, les mamies qui expliquent le film à leurs petits-enfants. Et je me suis rendu compte qu'il était encore trop long (1h50) pour mon fils de 5 ans et demi.

Résultat : je me suis retrouvé seul dans une salle de 467 places.

LE PIED TOTAL.
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7 septembre 2007 5 07 /09 /septembre /2007 16:55
rogue-l-ultime-affrontement.jpg

Aujourd'hui j'ai vu "Rogue, l'ultime affrontement". Je ne vais pas en faire des tonnes.

C'est un bon film d'action (de la violence, un rythme effréné, des rebondissements) ponctué par de belles séquences au sens visuel et plastique du terme. Jet Li et Jason Statham y sont à leur aise et déploient tout leur savoir-faire.

Mais c'est tout.

Un scénario épais comme une feuille de papier, une histoire de vengeance qui se prend les pieds dans le tapis. Et un manque évident de moyens.

On ne demandait pas au cinéaste de faire du Ingmar Berman mais le côté "profondeur psychologique" des personnages est à chercher ailleurs.

Pas la peine que vous dépenssiez 8 ou 10 euros dans une salle obscure, attendez avec sagesse la diffusion sur une chaîne cryptée.
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30 août 2007 4 30 /08 /août /2007 16:48
PERSEPOLIS.jpg
Puis je suis allé voir "Persepolis" de Marjane Satrapi et de Vincent Parronnaud.

Au départ je n'avais pas du tout envie de voir ce film. Mais j'ai tellement entendu d'éloges sur ce long métrage que je me suis enfin décidé. C'est ce qu'on appelle le bouche à oreilles.

Un film d'animation puissant, un style graphique très original mais surtout, au-delà de la forme, une charge sans compromis et sans complaisance envers un régime politique qui asservit sa population. Quand une religion est érigée en principe politique, les dégâts sont monstrueux et irrémédiables. Ceux qui furent autrefois les victimes, devinrent à leur tour les bourreaux dans l'Iran de 1978.

Un film tout en contraste avec des personnages attachants (la grand-mère, l'oncle executé) et de véritables salopards, les "commissaires de la révolution". Le tout au travers des yeux d'une gamine iranienne espiègle et attachante, Marjie.

Un petit bout de femme, en proie à ses propres problèmes existentiels (l'adolescence, l'amour, les études)  qui ne comprend pas forcément au début les changement qui secouent son pays.

Un long métrage très fort, une analyse politique très fine mais surtout un état des lieux inquiétant.

Pauvre Iran, pauvre peuple.

Courage Marjane.
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