4 août 2009
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28 juillet 2009
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Nous avons toutes et tous des cheminements particuliers dans la vie. Il y a souvent un événement, une date, une journée ou une occupation qui détermine une partie de ce que nous sommes devenus adultes.
J'ai déjà eu l'occasion de vous expliquer que mon goût pour l'histoire était certainement du au fait que lorsque que j'étais enfant j'ai eu la chance de voir un très grand nombre de péplums.
Près de chez moi il y avait un vidéo club qui possédait un bon stock de ce genre cinématographique et j'ai eu la chance de me procurer la plupart des pépites de l'histoire du 7ème art depuis les années 50.
J'ai vibré aux exploits d'Ulysse, aux travaux d'Hercule, aux destins si particuliers de Samson, Judas Ben-Hur ou Barabbas.
Les héros d'Athènes, Spartes ou Rome ont fait partie de mon quotidien pendant une bonne décennie.
L'intérêt de ces oeuvres est de provoquer un dépaysement total, une plongée dans un quotidien fait de rois et de reines, d'empereurs, de Dieux, de héros légendaires et de monstres en tout genre. Il y a un savant dosage entre réalité, interprétation historique et affabulation plus que plaisante.
J'ai bénéficié aussi de diffusions télévisées assez fréquentes. "La dernière séance" représente un temps béni pour les cinéphiles et "Cinéma de quartier" m'a permis de redécouvrir certains de ces films.
Merci au passage aux chaînes de télévision (privé/service public même combat) qui nous proposent de la télé poubelle à longueur d'année.
Dans mon esprit il n'y a pas de petits ou de grands longs métrages. J'ai autant de tendresse et de nostalgie pour les énormes productions hollywoodiennes que pour les co-productions italo-germano-franco-espagnoles et autres que le cinéma européen a pu enfanter dans les années 60 et 70. J'ai autant de respect pour un Steve Reeves que pour un Charlton Heston ou un Victor Mature.
Spécialement pour Movie, je fais un petit édit.
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22 juillet 2009
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18 juillet 2009
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J'ai un goût prononcé pour les films catastrophes. Les années 70 furent une période où ce genre cinématographique connut son apogée. Quelques longs métrages font partie de notre patrimoine commun et régulièrement quand ces films repassent à la télévision, je suis sûr que vous y jetez un oeil attendri.
Bien sûr on peut toujours discuter sans fin sur l'étendue du mot "catastrophe". Je pense que le concept est assez vaste pour y inclure bon nombre d'oeuvres.
La liste que je vous propose en images est purement subjective. Et très certainement vous pourrez vous dire : "tiens il manque ce film là ou celui là est en trop". C'est justement l'intérêt, on a tous les nôtres.
J'aime ces longs métrages car ils montrent le pire et souvent les personnages, confrontés aux situations les plus dramatiques, se révèlent. Nous faisons la connaissance de véritables héros ou à des salauds de la pire espèce. La dramaturgie est à son comble. Très souvent le casting est de première ordre. Les effets spéciaux sont somptueux et la musique rythme le suspense
Voici donc ma liste.
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3 juillet 2009
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Vous allez certainement me prendre pour un dingue et vous dire "pourquoi consacre-t-il un article à si peu de choses ?".
Mais quand j'ai visionné cette scène je me suis dit que certainement cela vous interpellerait.
Hier matin j'ai enfin vu "RockNrolla" de Guy Ritchie et j'ai pris un pied énorme. J'ai retrouvé le génial metteur en scène de "Crimes, arnaques et Botanique" et de "Sntach".
De nouveau le metteur en scène britannique est animé par un feu sacré qui brûle en lui.
L'histoire est vraiment intéressante. Et comme d'habitude il y a plusieurs intrigues qui se croisent dont le centre névralgique est un tableau prêté puis volé. Le spectateur croise une galerie de personnages vraiment extraordinaire, des tronches pas possibles de malfrats russes, de voyous londoniens. Ils apportent tous quelque chose à l'ensemble.
Guy Ritchie sait y faire. Sa réalisation est stylisée au possible, nerveuse. Le rythme ne faiblit jamais. Le cinéaste ne s'embarrasse pas de fioritures et va droit à l'essentiel. Le film porte la marque de ce style qui tend à l'efficacité.
Ainsi je vous propose ce qui est certainement le plus courte scène d'amour de l'histoire du cinéma. Le moment dure 7 secondes, pas une de plus, avec la cigarette incluse. Ce passage rappelle les allers-retours en avion de cousin Avi (Dennis Farina) dans "Snatch".
Jetez vous sur ce film. Il y a une alternance entre des moments très drôles et des événements que l'on pourrait qualifier de tragiques. C'est aussi ça la pâte de Guy Ritchie. Ces héros font de sâles trucs mais ils sont attachants.
Gerard Butler a vraiment du talent et le rôle titre lui va comme un gant. Mais le plus énorme reste Tom Wilkinson.
Un vrai régal.
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28 juin 2009
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Tim Burton est un cinéaste entier, inclassable, démesuré. Un metteur qui ose prendre des risques et qui mélange les genres. Le seul élément à charge est sa vision trop stéréotypée, trop industrie du cinéma de "La planète des singes".
Mais le bonhomme continue à faire rêver les foules.
Nul doute que son "Alice in Wonderland" sera l'un des événements attendus du début de l'année 2010 (sortie le 20 mars chez nous).
Pour la énième fois, le réalisateur a fait à son complice de toujours, le brillant Johnny Depp.
Mia Wasikowska sera Alice.
Le reste du casting se composera de Helena Bonham Carter, Christopher Lee, Crispin Glover, Anne Hathaway, Alan Rickman, Michael Sheen , Stephen Fry.
Royal !!!
Ce film est l'adaptation du roman de Lewis Carroll, intitulé Alice au pays des merveilles.
Nul doute que nous plongerons à corps perdu dans un univers visuellement riche.
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7 juin 2009
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Je sais que c'est forcément réducteur. On ne peut pas résumer la carrière d'un artiste à un film ou à une série mais "Kung Fu" restera comme l'un de mes plus grands souvenirs de télévision.
J'étais gamin quand j'ai découvert les aventures de "Caine". Il fut l'un de mes héros préférés.
David Carradine a marqué l'histoire de la petite lucarne.
A noter que Caine adolescent est interprété par Keith Carradine, le demi frère de David.
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6 juin 2009
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Cet article n'était pas du tout prévu mais parfois il faut savoir réagir promptement. Et je vais un peu empiéter sur les plates bandes de Genco.
Je suis rentré chez moi alors que se terminait la commémoration du 65ème anniversaire du débarquement allié en Normandie le 6 juin 1944. De nombreux chefs d'état ou de gouvernement assistaient à cette cérémonie.
Et que fit TF1 pour illustrer musicalement son générique de fin (n'ayant pas vu le début, je ne sais pas si la chaîne a procédé de la sorte) : elle a choisit le thème principal de "JFK" d'Oliver Stone écrit par John Williams.
JFK qui fut le dernier Président US assassiné en plein milieu de son premier mandat.
Pas mal pour rendre hommage !!!
Vous allez peut être dire que ce n'est pas trop grave mais à mon sens cela relève d'une inculture flagrante, voire d'un très mauvais goût.
Honte à la soi-disant chaîne préférée des français.
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23 mai 2009
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12 mai 2009
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Je vous ai déjà assez répété que j'adorais regarder des longs métrages étrangers en version originale. Mais la version française trouve également grâce à mes yeux quand le doublage est confié à des icônes de l'art.
J'ai un énorme respect pour la carrière et la personnalité de Monsieur Charles Aznavour. Les plus jeunes d'entre vous connaissent assurément l'immense chanteur. Mais il ne faut surtout pas oublier que cet artiste a joué dans un nombre considérable de films qui ont marqué le 7ème art dont "Tirez sur le pianiste", "La métamorphose des cloportes" ou "Un taxi pour Tobrouk".
De plus Charles Aznavour est un homme de coeur et son engagement humanitaire force le respect.
Pour "Là-Haut", dernier né de l'usine à rêves Pixar, Charles Aznavour a assuré la post synchronisation du personnage de Carl Fredricksen, figure centrale du film d'animation.
En version originale c'est Edward Asner qui prête sa voix au vieux bonhomme ronchon.
J'approuve vraiment ce choix et encore une fois je dis "chapeau bas Monsieur Aznavour".
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