30 janvier 2008
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Published by Samom
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Scènes d'anthologie
3 janvier 2008
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Sans verser dans les généralités, je pense que parfois des images sont beaucoup plus évocatrices que tous les plus longs discours du monde.
J'ai toujours trouvé que ces quelques minutes de "La liste de Schindler" de Steven Spielberg nous montraient ce que fut la barbarie Nazie : un officier SS jouant du Mozart "accompagné" par les sons abominables des mitraillettes allemandes pendant l'écrasement du ghetto de Cracovie (journée du 13 mars 1943).
Bien que le film soit une oeuvre de fiction, il constitue un très bon point de départ pour se documenter et s'instruire même si aux dires de certains, Spielberg aurait pris quelques libertés avec l'Histoire (un Oskar Schindler à la personnalité beaucoup plus floue que celle dépeinte dans le long métrage).
"La liste de Schindler" demeurera à jamais un film émouvant.
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Scènes d'anthologie
31 décembre 2007
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Maitre Corbeau tenait dans son bec un morceau... .
..d'œil.
Je ne suis jamais lassé de revoir "Damien : La malédiction 2".
Gamin ce film m'a foutu la trouille.
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Scènes d'anthologie
28 décembre 2007
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Il y a quelques semaines déjà j'ai vu le film "Les aristos".
Même si les critiques ont assassiné le long métrage de Charlotte de Turckheim, j'ai trouvé l'ensemble assez drôle et particulièrement cette scène. Hélène de Fougerolles est tordante en harpie de la noblesse.
ps : montez le son et ouvrez bien vos yeux pour le passage dans l'église.
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Scènes d'anthologie
25 décembre 2007
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Il y a des moments dans l'année qui vous rappellent certains films. Noêl est justement l'occasion pour moi de me remémorer le long métrage "Total Recall" réalisé par Paul Verhoeven avec Arnold Schwarzenegger.
Je trouve que c'est l'un de ses meilleurs rôles. Un très bon film. Une formidable histoire librement adaptée du romancier Phlip K.Dick. De superbes effets spéciaux. Du rythme, de l'intensité. Une vraie réussite.
En extrait : la scène finale du film.
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Scènes d'anthologie
14 décembre 2007
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Dans un futur très proche, un jeune professeur de musique, idéaliste sur les bords, est nommé dans un établissement de banlieue, le lycée Lincoln.
Son enthousiasme se heurte très rapidement à un groupe d'adolescents qui entendent régenter la vie du lycée (intimidations, trafics en tous genres).
Devant l'inaction du système scolaire et des autorités, l'enseignant tente de régler les problèmes seul contre tous. Son but est de sauver une partie de sa classe composée d'élèves volontaires et décidés.
Mais l'homme dérange. Les voyous s'en prennent moralement à son seul ami enseignant et physiquement à sa femme.
Un cap est franchi.
L'affrontement est inévitable.
"Class 1984" (sorti en 1982) fait partie des longs métrages qui ont impressionné mes jeunes années de cinéphile. Je me souviens que le film était en location dans un vidéo club près de chez moi. Pour 10 ou 20 francs, le choix était très large. Une vraie caverne d'Ali Baba.
Un été, le responsable de cet établissement (ami de mes parents) voulant éviter de trop laisser de films dans son magasin pendant ses vacances avait prêté à ma famille une trentaine de films dont "Class 1984".
Dès les premières minutes, le charme opéra. En quelques semaines j'ai du le voir une bonne quinzaine de fois. Ensuite le temps a fait son oeuvre. Je suis passé à autre chose. Mais "Class 1984" est resté dans un petit coin de ma mémoire.
Je l'ai revu récemment et je n'ai absolument pas été déçu. Parfois avec les années on idéalise certains souvenirs. Le plaisir était toujours là.
Quel film incroyable. Le même malaise. Le même climat pesant. La même révolte contre la bêtise humaine et l'inaction des autorités.
Une réalisation efficace de Mark Lester. Un jeu d'acteurs étonnant. L'affrontement entre ce professeur (Perry King) et un jeune homme doué mais asocial (Timothy Van Patten) est le ciment du film. Leur mano à mano est formidablement bien construit. La tension monte crescendo. Elle explose dans les images ci-dessous.
Mention spéciale pour le jeu de Roddy McDowall. Sa prestation de professeur au bord de la crise de nerfs est remarquable.
Certains ont pu dire que le film était en avance sur son temps. Aujourd'hui il parait dépassé sur le fond. Mais l'oeuvre fait toujours autant d'effet.
A voir sans modération.
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Scènes d'anthologie
23 novembre 2007
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Dans ma série "la grande faucheuse", je n'ai pas ressité à l'envie de vous remontrer cette séquence tirée de "Destination Finale 3".
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Scènes d'anthologie
16 novembre 2007
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Hier soir j'ai vu "Apocalypto" de Mel Gibson.
Au préalable j'avais entendu ou lu des monstruosités sur ce long métrage. On parlait de film "violent" (le journal de 20 heures l'est tout autant). Des ethnologues ont disserté pendant des jours en doutant de la véracité de tel ou tel élément.
Mais je crois que les savants ont oublié que l'oeuvre est avant tout une "fiction" même s'il y a à la base une trame historique. Un créateur est libre de se donner une marge de manoeuvre.
Je dois dire que j'ai apprécié ce long métrage. Mel Gibson fait preuve d'une réelle maitrise à la caméra. Il sait mettre en images de belles histoires. Les comédiens pour la plupart inconnus du grand public sont sensationnels.
Alors c'est vrai qu'il y a un peu de sang. Des points peuvent être discutés, évalués, mis en doute (les rites, les costumes, les coutumes etc...)
Mais le tout se regarde de bonne grâce. "Apocalypto" est à mon sens une réussite. A voir pour le plaisir de la découverte.
En extrait une scène particulièrement importante.
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Scènes d'anthologie
2 novembre 2007
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Il faut savoir mettre de l'eau dans son vin. Je viens de revoir "Hannibal Lecter : les origines du Mal" et je trouve que ma critique (ici) était trop sévère.
Finalement il s'avère que le long métrage a de grandes qualités. L'erreur que j'ai commis il y a quelques mois est d'avoir revu les autres films de la saga juste avant. J'ai absolument voulu comparer des longs métrages entre eux alors qu'ils adoptent des angles d'attaque différents.
Sans oublier le passé, il faut mettre à distance ce qui doit l'être et apprécier "Hannibal Lecter : les origines du mal" pour ce qu'il montre et non pas comment il s'inscrit dans un processus.
En extrait, le premier meurtre d'une longue série....
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Scènes d'anthologie
28 octobre 2007
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La question était pour des millions de fans à travers le monde : comment George Lucas allait mettre en images la transformation physique et technologique d'Anakin Skywalker en Dark Vador, le terrible Seigneur Sith.
La réponse en un peu plus de trois minutes.
Et petit tour de passe-passe pour mon ami Lari : avec un bon outil informatique on peut faire des miracles.
Le premier extrait ne concerne que les passages de Dark Vador.
Le deuxième extrait présente la scène dans son intégralité.
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