26 novembre 2007
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16:31
Puis j'ai assisté à la projection du film "Once" de John Carney. Quel bonheur.
Le film raconte l'histoire d'une rencontre. Celle d'un homme, chanteur de rues, blessé par une douloureuse rupture amoureuse et une fille, immigrée tchéque, qui est marié à un homme qu'elle n'aime plus. Dans les rues de Dublin, la musique les réunit. Les chansons jalonnent leur itinéraire. Dans un monde idéal le bonheur d'être ensemble serait à portée de ces deux âmes qui souffrent.
Mais la vie et loin d'être idéale. Heureusement que la musique est là, malgrè tout.
J'avais raison de vous présenter la bande annonce il y a quelque temps déjà. Ce long métrage a été salué unanimement par les spectateurs et les professionnels dans le monde entier. Rares sont les moments comme celui que j'ai vécu tout à l'heure. 90 minutes d'une grande pureté.
L'histoire est prodigieuse. Le scénario brille par sa simplicité. Un long métrage qui ressemble vraiment à une ballade musicale. Les personnages sont plein d'humanité. Une oeuvre qui ne tombe pas dans les travers maintes fois vus au cinéma. La vie de ce duo d'artistes ne se transforme pas en une sempiternelle "love story". L'Amour platonique existe certainement entre eux mais trop de choses les séparent.
Des personnages touchants, attachants que l'on observe avec une certaine tendresse.
Les chansons sont extraordinaires. La force des sentiments s'exprime par leur biais. L'un des moments forts du film est la séquence d'enregistrement en studio. Dix minutes de magie à l'état brut. La musique est au même titre que les acteurs, l'un des personnage principal.
Le succès de "Once" repose sur un éclatant duo de comédiens : l'irlandais Glen Hansard (remarqué dans "The Commitments" d'Alan Parker) et la tchèque Markéta Irglova. A la force et la puissance d'interprétation du premier s'opposent (et se complètent) la grâce et la douceur de la seconde. La symbiose est parfaite.
Un petit morceau de paradis sur terre aujourd'hui.
Le film raconte l'histoire d'une rencontre. Celle d'un homme, chanteur de rues, blessé par une douloureuse rupture amoureuse et une fille, immigrée tchéque, qui est marié à un homme qu'elle n'aime plus. Dans les rues de Dublin, la musique les réunit. Les chansons jalonnent leur itinéraire. Dans un monde idéal le bonheur d'être ensemble serait à portée de ces deux âmes qui souffrent.
Mais la vie et loin d'être idéale. Heureusement que la musique est là, malgrè tout.
J'avais raison de vous présenter la bande annonce il y a quelque temps déjà. Ce long métrage a été salué unanimement par les spectateurs et les professionnels dans le monde entier. Rares sont les moments comme celui que j'ai vécu tout à l'heure. 90 minutes d'une grande pureté.
L'histoire est prodigieuse. Le scénario brille par sa simplicité. Un long métrage qui ressemble vraiment à une ballade musicale. Les personnages sont plein d'humanité. Une oeuvre qui ne tombe pas dans les travers maintes fois vus au cinéma. La vie de ce duo d'artistes ne se transforme pas en une sempiternelle "love story". L'Amour platonique existe certainement entre eux mais trop de choses les séparent.
Des personnages touchants, attachants que l'on observe avec une certaine tendresse.
Les chansons sont extraordinaires. La force des sentiments s'exprime par leur biais. L'un des moments forts du film est la séquence d'enregistrement en studio. Dix minutes de magie à l'état brut. La musique est au même titre que les acteurs, l'un des personnage principal.
Le succès de "Once" repose sur un éclatant duo de comédiens : l'irlandais Glen Hansard (remarqué dans "The Commitments" d'Alan Parker) et la tchèque Markéta Irglova. A la force et la puissance d'interprétation du premier s'opposent (et se complètent) la grâce et la douceur de la seconde. La symbiose est parfaite.
Un petit morceau de paradis sur terre aujourd'hui.