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11 avril 2009 6 11 /04 /avril /2009 14:00
















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11 avril 2009 6 11 /04 /avril /2009 09:05


Plus rien ne devrait arrêter le spin-off de Spider-Man mis en chantier l'été dernier par Sony (voir news : Un spin-off en vue pour pour Spider-Man ?). Consacré à Venom, super-vilain aux attributs similaires à ceux de l'homme araignée, il serait en cours d'écriture.


Le studio aurait confié cette tâche à Paul Wernick et Rhett Reese, tenus pour le moment au secret. Pas vraiment connus du grand public, ces deux-là assurent être fans du personnage en particulier et des comics en général. Ils comptent donc faire honneur à l'un comme à aux autres.

 

Venom dans Spider-Man 3, Topher Grace remettra-t-il son costume de super-vilain ? Là est toute la question. La réponse attendra, de même que les spectateurs américains devront attendre le 6 mai 2011 pour découvrir Spider-Man 4.


 

(source : toutlecinema.com)

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10 avril 2009 5 10 /04 /avril /2009 20:30
En 1989 Marc Lépine a tiré et tué 14 jeunes femmes de l'Ecole Polytechnique de Montréal et s'est ensuite donné la mort.

Dennis Villeneuve en a tiré un film. Le long métrage a des chances d'être présent sur la croisette en mai pour la quinzaine des réalisateurs.

Un film interprété par
  Maxim Gaudette, Sébastien Huberdeau, et Karine Vanasse 



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10 avril 2009 5 10 /04 /avril /2009 15:00
















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10 avril 2009 5 10 /04 /avril /2009 09:17


Hier j’ai poursuivi mon périple de cinéphile avec "Erreur de la banque en votre faveur" de Michel Munz et Gérard Bitton. Et je dois avouer que j’ai passé un très agréable moment.

Julien Foucault (Gérard Lanvin) est maître
d’hôtel depuis 17 ans chez Berthin-Scwartz une respectable banque d’affaires. Il est sur le point d’être licencié et rêve d’ouvrir un restaurant avec son meilleur ami Etienne (Jean-Pierre Darroussin).

Julien tombe par hasard sur des informations bancaires confidentielles. Il décide de les utiliser car son employeur lui a refusé un prêt malgré de nombreuses années de bons et loyaux services. Julien se rend compte que ses patrons sont loin d’être blancs comme neige et que le délit d’initiés fait partie de leurs pratiques courantes.

"Erreur de la banque en votre faveur" est une comédie familiale très sympathique qui s’inscrit dans l’air du temps. A l’heure où une partie de la société française réprouve les pratiques douteuses des grandes banques, les manipulations de certains (tous ?) établissements financiers ou l’enrichissement des grands dirigeants, le long métrage a su trouvé le ton juste pour amuser sans lasser et dénoncer de manière subtile.

Car les ressorts comiques déployés ici n’ont rien à voir avec une collection de blagues éculées ou une accumulation de poncifs. Le rire naît de situations gênantes, embarrassantes, de quiproquos.

L’histoire est intéressante quoique sans réelles surprises tant on se doute du dénouement final. Au cinéma la morale est souvent sauve. Le petit finit par l’emporter sur le gros. Le scénario est précis et se déroule comme une mécanique bien huilée.

Sur le fond le long métrage s’attaque aux tripatouillages des grandes banques d’affaires, aux décisions et aux pratiques de leurs dirigeants, à l’avidité d’individus peu scrupuleux pour qui "cent millions d’euros ne sont rien".

Les portraits sont acides, sans concessions. Les grands banquiers sont cupides, véreux. La finance de haut vol est ciblée. La bourse et les boursicoteurs en prennent aussi pour leur grade. On pourrait penser que le trait est forcé et qu’il règne dans ce film un manichéisme maladroit mais les événements de la décennie écoulée dans notre pays tendent à prouver que la fiction n’est qu’un reflet de la réalité. Dans un film de fiction cependant les héros triomphent et réalisent leurs rêves…

Je ne vais pas noircir le tableau mais le long métrage de Munz et Bitton adopte le bon angle d’attaque en distrayant le spectateur. Leur film se fait l’écho de préoccupations biens actuelles, ce qui dénote un sens de l’observation très développé.

L’alchimie entre Gérard Lanvin et Jean-Pierre Darroussin fonctionne pleinement. Leur très bonne entente se ressent à l’écran. Leurs réparties sont excellentes et chacun d’entre eux réussit à développer avec classe son propre numéro de soliste sans nuire à l'autre.

Ils sont entourés d’une galerie de seconds rôles très bien choisis et qui donnent de la consistance au film. Martin Lamotte, Scali Delpeyrat, Philippe Magnan et Eric Naggar campent des personnages très drôles.

"Erreur de la banque en votre faveur" s’appuie plus généralement sur des dialogues assez croustillants donc quelques phrases risquent de passer à la postérité ("Travailler plus pour gagner plus, personne n’a jamais prétendu que ça s’adressait aux mêmes").

Je suis très dur avec les comédies françaises qui ont tendance souvent à se répéter mais pour une fois qu’un film sort du lot, il n’y a pas à hésiter une seule seconde.

"Erreur de la banque en votre faveur" est et restera une comédie mais la dénonciation est on ne peut plus juste. Certains diraient que les deux metteurs en scène sont opportunistes, moi je dirais plutôt qu’ils sont clairvoyants et satiriques.
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9 avril 2009 4 09 /04 /avril /2009 18:02



Ma journée cinéma à commencé avec "Prédictions" le nouveau long métrage d’Alex Projas. Et je dois dire que mon opinion est très contrastée car le long métrage change brusquement de tonalité dans sa dernière partie. L’emballage final "flingue" le reste du film. Dommage.

En 1959, des élèves d’une école primaire américaine sont chargés de dessiner leur vision de l’avenir. Une jeune fille rédige une étrange missive en alignant sur une feuille une suite continue de chiffres.

Leurs œuvres sont enfermées dans une capsule temporelle qui devra être ouverte un demi siècle plus tard par d’autres enfants de cette école.

2009, la capsule est ouverte et le jeune Caleb Koestler (Chandler Canterbury) reçoit le l'étrange papier. Son père John (Nicolas Cage), enseignant et chercheur, se rend compte que les chiffres ont une signification précise : ils annoncent des cataclysmes passés. Mais trois séries de chiffres concernent des événements qui doivent se produire très prochainement.

Le compte à rebours est lancé. John reçoit l’aide de Diana Wayland (Rose Byrne) la propre fille de celle qui a rédigé les prédictions 50 ans plus tôt. Il ne reste que quelques jours, quelques heures peut être avant qu’un nouveau drame se produise.

Hollywood a trouvé un sujet en or depuis quelques années : le destin de la planète terre. La fin du monde, autrefois enjeu idéologique et religieux, est au cœur de productions d’importances à grands renforts de moyens humains, techniques et surtout financiers. Le filon est en or massif et chaque entreprise monte à chaque fois d’un cran dans la démesure. Nous courrons à notre perte et l’industrie cinématographique américaine se charge de nous le montrer à l’écran.

"Prédictions" choisit un angle d’attaque original. Nous entrons au cœur d’incroyables événements par le biais d’une histoire tout à fait simple d’un père et de son fils touchés récemment par un deuil.

Nous sommes plongés dans un long métrage qui mélange avec intelligence plusieurs influences. "Prédictions" est à la fois un thriller scientifique, un film catastrophe teinté d’une touche de fantastique qui fonctionne très bien dès les premières minutes. Nicolas Cage, armé de son seul bagage scientifique, mène l’enquête avec application et détermination.

Passons sur le fait que le personnage incarné par Nicolas Cage résout le mystère de la signification de ces chiffres en moins de dix minutes, le suspens n’en est pas moins bien  mis en place et la tension s’installe progressivement. Les acteurs sont crédibles et jouent juste. Abonné depuis quelques temps à des productions qui mettaient son aura en danger, Nicolas Cage retrouve ici une certaine crédibilité, à défaut de rassurer pleinement ses détracteurs.

Les relations père-fils sont traités avec la mesure qui s'impose à ce genre de situation dramatique.

Ce premier temps du long métrage, les trois quarts en gros, est passionnant, trépidant. La réalisation est soignée, dynamique. Le rythme est bon. Alex Projas distille ici ou là des éléments qui amènent le spectateur à s’interroger, à prendre peur à la limite. Il y a comme une chape de plomb qui pèse sur les héros du film et qui rend l’avenir incertain.

Sur le plan technique la réussite est totale. Les catastrophes proposées à l’écran relève d’un savoir faire évident. Le crash de l’avion et le déraillement du métro sont deux des morceaux de bravoure de l’œuvre. Les techniciens des effets spéciaux font étalage de leur très grand professionnalisme.

"Prédictions" aurait pu être classé au rang d’excellent long métrage, de surprise de l’année mais Alex Projas n’a pas su s’arrêter à temps et le second temps du long métrage, les 25 dernières minutes, jettent un énorme discrédit sur le rendu. Le film amorce un virage à 180° et a fini franchement par me laisser circonspect, voire même agacé.

Le thriller scientifique devient un long métrage aux accents millénaristes et bibliques. Ce fatras mystico religieux gâche le film et le rend vide de sens. Quel était le but recherché par Alex Projas ? Nous faire peur ? Nous dire que Dieu est la seule solution à nos maux quotidiens ? Les dernières minutes du long métrage sont déplacées, risibles quand on est tolérant et mesuré.

Sinon on pourrait parler de manipulation nauséabonde des esprits. Techniquement cette seconde partie est identique à la précédente. La forme est indéniablement recherchée. La séquence de destruction de la terre est superbe et bien agencée.

Mais c’est le message qui est malsain, déplacé. Cet appel du pied à la religion sonne le glas du film. Le metteur en scène met en avant tous les artifices pour augmenter le pathos de son film mais cela fait un bout de temps que le spectateur a décroché.

"Prédictions" aurait pu prendre date, il prend juste la porte. La faute à des bondieuseries de mauvais aloi.

Regrettable et inquiétant.
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9 avril 2009 4 09 /04 /avril /2009 13:46
Je sais très bien que ce n'est le genre de films qui fait rêver les foules ou qui occupera le devant de l'actualité mais moi j'adore. Quand je vois ces images je pense immédiatement à "l'anguille" ou à "Printemps, été, automne, hiver...et printemps".







"Departures" : sortie le 27 mai.

RéalisateurYojiro Takita

Acteurs Masahiro Motoki, Tsutomu Yamazaki, Ryoko Hirosue, Kazuko Yoshiyuki, Kimiko Yo et autres

Genre : Comédie dramatique

Résumé : Dans une province rurale du nord du Japon, Yamagata, où Daigo Kobayashi retourne avec son épouse, après l'éclatement de l'orchestre dans lequel il jouait depuis des années à Tokyo. Daigo répond à une annonce pour un emploi "d'aide aux départs", imaginant avoir affaire à une agence de voyages.

L'ancien violoncelliste s'aperçoit qu'il s'agit en réalité d'une entreprise de pompes funèbres, mais accepte l'emploi par nécessité financière. Plongé dans ce monde peu connu, il va découvrir les rites funéraires, tout en cachant à sa femme sa nouvelle activité, en grande partie taboue au Japon.
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9 avril 2009 4 09 /04 /avril /2009 08:03
Voilà la vidéo dont parlait Movie dans l'un dans son commentaire sur la parodie de "Spiderman". Et je suis d'accord : Jack Black et Sarah Michelle Gellar forment un duo comique très performant.


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8 avril 2009 3 08 /04 /avril /2009 18:19



"Dans la brume électrique" : sortie le 15 avril.
Réalisé par Bertrand Tavernier
Genre : Policier.
Résumé : New Iberia, Louisiane. Le détective Dave Robicheaux est sur les traces d'un tueur en série qui s'attaque à de très jeunes femmes.

De retour chez lui après une investigation sur la scène d'un nouveau crime infâme, Dave fait la rencontre d' Elrod Sykes. La grande star holywoodienne est venue en Louisiane tourner un film, produit avec le soutien de la fine fleur du crime local, Baby Feet Balboni.

Elrod raconte à Dave qu'il a vu, gisant dans un marais, le corps décomposé d'un homme noir enchaîné. Cette découverte fait rapidement resurgir des souvenirs du passé de Dave.

Mais à mesure que Dave se rapproche du meurtrier, le meurtrier se rapproche de la famille de Dave...

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8 avril 2009 3 08 /04 /avril /2009 13:00
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