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5 mai 2010 3 05 /05 /mai /2010 18:28

Etrange...mais pourquoi pas.


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"Rubber"

Réalisateur : Quentin Dupieux.

Résumé : Robert est un pneu (oui, un pneu) dont la famille a été décimée, brûlée sur le bord d'une route en plein désert. Il va alors prendre vie et conscience, et décide alors, après s'être entraîné sur des insectes, de se venger des humains en allant leur éclater  (au propre comme au figuré) la tête... comme des pneus.


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5 mai 2010 3 05 /05 /mai /2010 13:29

 

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5 mai 2010 3 05 /05 /mai /2010 08:57
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Pour plus d'informations : ici.
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4 mai 2010 2 04 /05 /mai /2010 18:33

Sur ce site vraiment sympathique j'ai découvert de quoi m'amuser. Avec un visuel que vous choisissez, vous pouvez faire des combinaisons avec d'autres longs métrages. Ainsi vous créez vos propres affiches à la manière de...

 

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4 mai 2010 2 04 /05 /mai /2010 09:40

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Dans la foulée d’un Adèle Blanc-Sec très décevant j’ai assisté à la projection du second volet des aventures cinématographiques du milliardaire Tony Stark et de son alter ego Iron Man.


Et je ne vais pas jouer les fausses pudeurs : j’ai adoré. Littéralement.


"Iron Man 2" est à prendre pour ce qu’il est avant tout : un pur divertissement destiné à nous coller au fond de notre fauteuil. Le plaisir procuré est le seul baromètre à prendre en considération. Le reste n’est que du show business.


Ce second opus s’inscrit dans le vaste plan conçu par Marvel et ses partenaires commerciaux pour nous amener tranquillement à une réunion de nos (super) héros d’ici deux ou trois ans dans "The Avengers". J’en piaffe d’impatience.


Dans ce genre de situation j’oublie que les productions américaines sont des mécaniques bien huilées dont le but est de faire un maximum de fric. Pas la peine de se prendre la tête avec ce genre de considérations. Les faits sont là.


Et comme je le dis souvent notre mental a parfois besoin de s’abandonner à l’accessoire et à la légèreté. La vie en général et le cinéma en particulier sont assez vastes pour que notre esprit critique s’exerce de manière plus affûtée.


"Iron Man 2" est comme son prédécesseur un produit destiné au grand public, à la famille. Mais cela ne veut pas dire pour autant qu’il s’agit d’une œuvre bâclée. Quand les studios donnent les moyens financiers à un réalisateur, en l’occurrence Jon Favreau, le résultat est à la hauteur. Sans aucun doute possible.


L’intrigue peut se scinder en deux parties bien distinctes. Dans un premier temps le metteur en scène pose les principaux enjeux : l’indépendance de Tony Stark/Iron Man (Robert Downey Jr) par rapport au Gouvernement et au Congrès Américains, la mort qui guette le milliardaire, l’émergence d’un concurrent (Sam Rockwell), la thématique de la vengeance par le biais d'Ivan Vanko (Mickey Rourke). Dans un second temps, les nœuds des péripéties sont tranchés dans le vif.


"Iron Man 2" est un long métrage entraînant, nerveux. L’ensemble est tonique et ne laisse pas sommeiller le spectateur. Un tempo soutenu par une bande originale vigoureuse. Même si nous connaissons toutes et tous les légendaires chansons d’AC/DC, l’honnêteté commande d’avouer que les différents morceaux s’insèrent parfaitement dans "Iron Man 2".


Les séquences d’action sont jouissives à plus d’un titre. Des morceaux de bravoure attendus et indispensables. Un vrai régal pour les yeux. J’étais comme un gamin devant un magasin de jouets : l’apparition des différentes armures est plus qu’euphorisant. L’adrénaline est à son comble car les combats sont parfaitement orchestrés. Leur cadence est réglée comme du papier à musique.


Mais il ne faudrait pas réduire le film à une collection de séquences d’actions même si ces dernières sont présentes.


L’un des centres d’intérêt de ce second épisode est la volonté de faire évoluer les personnages. Les relations entre Tony Stark et Pepper Potts (Gwyneth Paltrow) sont creusées et apparaissent plus fines dans leur exposition.


Le milliardaire doit aussi composer avec un Nick Fury (Samuel L. Jackson) de plus en plus présent. La complicité et l’amitié du Colonel Rhodes (Don Cheadle) sont mises à l’épreuve alors que l’arrivée d’une secrétaire énigmatique (Scarlett Johansson) trouble la donne.


Au risque de déstabiliser certains spectateurs, la multiplication des intrigues ne nuit pas à la progression du récit. Le film y gagne en épaisseur mais décevra peut être les partisans de la pyrotechnie à outrance. Mais il faut se souvenir que le premier opus était construit un peu de la même manière. Jon Favreau a certainement cherché longtemps la formule idéale et il ne doit pas en être loin.


Sans aller aussi loin que les scénaristes de "The Dark Knight", les auteurs du scénario de ce second chapitre ont quand même plongé Tony Stark dans une abyme d’incertitudes. Le côté sombre du héros apparaît dans une nette montée en puissance d’une tendance à l’auto destruction. L’armure se fendille. L’éclatante dernière demie heure n’en est que plus spectaculaire.


Le long métrage a quand même un côté léger. Les dialogues sont piquants et l’humour se présente sous la forme de touches plutôt efficaces.


"Iron Man 2" se définit comme un opus grand public mais aussi destiné aux fans, aux geeks. Les clins d’œil sont légion. Les procédés utilisés sur le premier film et sur le reboot d’Hulk sont parfaitement maîtrisés. La curiosité des fans est aiguisée. On participe à cette chasse à l’œuf de bonne grâce.


Robert Downey Jr cabotine à fond et le plus formidable et que le tout fonctionne. On en redemande. La beauté de Gwyneth Paltrow éclate à l’écran. Je sais que cela n’a rien à voir avec son talent de comédienne mais l’actrice américaine brûle la pellicule à chacune de ses apparitions. 


Don Cheadle et Samuel L. Jackson jouent leurs partitions avec le professionnalisme qu’on leur connaît.


Scarlett Johnasson arrive dans la galaxie Marvel sur la pointe des pieds mais il serait étonnant que son personnage, l’agent Romanoff alias la Veuve Noire, ne fasse pas l’objet d’un ou de développement(s) ultérieur(s). Le potentiel est là.


Sam Rockwell est le seul personnage qui apparaît sur la réserve. L’image de rival sérieux de Tony Stark s’étiole au fil des minutes.


Mickey Rourke est excellent. Après interminable traversée du désert, l’acteur semble connaître un automne cinématographique plus que plaisant. Le costume de vilain de service lui va comme un gant.


"Iron Man 2" est le pivot central d’une trilogie. Normal que le long métrage fasse évoluer les situations et les protagonistes au détriment du tout action. Les bases de déploiements ultérieurs sont déjà posées.


Il n’en demeure pas moins que "Iron Man 2" est un film très réussi qui nous en donne pour notre argent.


Et par pitié : attendez la toute fin du générique (c'est devenu une habitude).

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3 mai 2010 1 03 /05 /mai /2010 18:55

Voici ce que pourraient donner certains longs métrages que nous appelons de nos voeux.

 

 

 

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3 mai 2010 1 03 /05 /mai /2010 09:56

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Quelle claque…de déception.


Les teasers étaient plutôt sympathiques et la bande annonce intéressante mais en assistant à la projection du film de Luc Besson "Les aventures extraordinaires d’Adèle Blanc-Sec" je me suis senti trahi moi le passionné de l’œuvre de Jacques Tardi depuis bientôt 20 ans.


Le dernier né de Luc Besson est un produit creux sans âme qui tombera rapidement dans l'oubli. L’ambition de créer un personnage d’aventurière à la française ne dépasse pas le stade des bonnes intentions.


Quel ennui.


Ma première pensée a été de me demander si Luc Besson avait bien lu au moins un album des aventures de l’intrépide journaliste.


Le long métrage, à la croisée de "Adèle et la Bête" et "Momies en folie", respectivement 1er et 4ème ouvrages de la série, ressemble à un patchwork informe et indigeste.


J’étais enthousiaste à la base quand le projet a commencé à prendre forme et je me suis même dit que Louise Bourgoin pourrait faire une Adèle Blanc-Sec plus qu’honorable (même si mon choix initial est et restera Sylvie Testud qui à le charisme et la gouaille nécessaires).


Je sais qu’il n’est pas toujours judicieux de comparer une œuvre de papier et sa transposition sur grand écran car beaucoup de données sont à prendre en compte (la densité du matériau, le nombre de personnages, les unités de temps, lieu et action) mais dans le cas d’une bande dessinée, une mise en perspective est plus que nécessaire. De même prétendre qu’une bonne adaptation consisterait à adapter planche par planche un opus serait parfaitement stupide.


Malheureusement la sauce n’a pas pris. Depuis toujours l’univers d’Adèle Blanc-Sec représente le summum de l’étrange, du mystère, de l’horreur parfois. Les épreuves traversées par la demoiselle de la belle époque sont non conventionnelles. Luc Besson a transformé ce monde si particulier où des thèmes où l’onirisme ou l’ésotérisme sont légions en une vaste farce bouffonne ponctuée à des intervalles réguliers (et même chronométrés pour dire au spectateur où ce dernier doit rire) de gags lourdingues.


Je considère que Luc Besson a manqué de respect à l’œuvre de Tardi en envoyant ad patres l’esprit si particulier, le ton si impertinent des exploits d’Adèle Blanc-Sec. Le cinéaste français n’a retenu qu’une infime partie (et encore) de la sève originelle, de ce qui faisait le charme désuet (dans une acceptation non péjorative) du Paris et de la France de l’entre deux guerres pour nous servir, et c’est devenu une habitude chez le bonhomme, un divertissement grand public passe-partout.


Rassurez vous : pas de choses horribles dans le film de Mossieur Besson. Point de scènes choquantes.


Il y a forcément des spectateurs que le film va à coup sûr intéresser car Luc Besson connaît son cœur de cible à la perfection mais Adèle Blanc-Sec ce n’est pas ce truc !!!


Traiter moi de naïf si vous le souhaitez mais je m’attendais à être plongé au cœur d’un mystère prenant et passionné, une ambiance étouffante qui serait fidèle à une bande dessinée étonnante, variée et décousue (Tardi a construit un puzzle sur près de trente dans lequel les différents albums se complètent et se répondent en permanence). Au lieu de ça, nous avons le droit à du tout venant, du pré mâché.


Dés le commencement le film prend une mauvaise direction. Besson nous sert la pâle copie d’un long métrage de Jean-Pierre Jeunet. Le sempiternel narrateur, par ailleurs si important et tant attendu, tombe ici à plat.


L’histoire du ptérodactyle se trouve bien vite reléguée au second plan et Luc Besson laisse Adèle fait son show sans filet. Nous assistons incrédules à une succession de pauvres situations soi-disant comiques. L’artifice des déguisements à la prison de la Santé en devient presque gênant tant la répétition épuise le mince crédit accordé au long métrage.


J’ai trouvé le scénario poussif et les transitions assez mal ficelées. Les rebondissements sont quasiment inexistants. Le tout semble très convenu et gratuit. Mais c’est la dernière partie au Louvre qui m’a particulièrement choqué. La conclusion est on ne peut plus risible.


L’intrigue de la sœur handicapée suite à un horrible accident vient parasiter ce qui aurait du être le pivot du film, à savoir un mélange de mystère, d’investigations policières et des situations étranges qui constituent le sel des bandes dessinées (où nous cotoyons des savants fous, des sectes, des assassins de tous bords etc...)


Nous avons toutes et tous notre propre lecture d’un matériau originel mais je crois que les passionné(e)s d’Adèle Blanc-Sec seront d’accord avec moi : on ne retrouve pas chez le personnage vu par Besson l’effronterie, la liberté de ton, l’espièglerie de la jeune aventurière (et surtout l'art de se fourrer dans la m.... toute seule).


L'Adèle à la sauce Europacorp est une petite rigolote qui a fini par m'éxaspérer.


Les dialogues sont insipides. Certaines phrases sont énoncées sans enthousiasme apparent.


L’un des éléments qui sauvent le film du naufrage intégral est la reconstitution historique qui donne quand même au long métrage un cachet d’authenticité.


Les effets visuels ne sont pas vraiment fameux. Seul le ptérodactyle a du style et sort du lot mais c’est bien pauvre.


La musique d’Eric Serra, fidèle parmi les fidèles de Luc Besson, est sans saveur. Par le passé les bandes originales du sieur étaient comme des signatures, des marques de fabrique. La partition du film "Les aventures extraordinaires d‘AdèleBlanc-Sec" se gomme de nos mémoires aussi vite qu’elle y était apparue.


Louise Bourgoin tire quand même son épingle du jeu dans le registre qui lui est proposé mais elle est à mille lieues d’une Adèle Blanc-Sec digne de ce nom. A part quelques fulgurances, elle subit un scénario essoufflé et une ligne de conduite pas vraiment opportune. Mais la comédienne a du potentiel.


Gilles Lellouche est parfaitement ridicule en inspecteur Caponi et Gilles Giraud joue trop sur la réserve en Andrej Zborowski.


Matthieu Amalric est météoriquement présent en dans le rôle de Dieuleveult.


Jean-Paul Rouve est carrément grotesque en Justin de Saint-Hubert.


Seul Philippe Nahon (une fois de plus) en Professeur Ménard et Jacky Nercessian en Espérandieu sont crédibles dans leurs interprétations respectives. Un bon point pour eux.


Luc Besson est un réalisateur qui s’est embourgeoisé. Il n’a plus le mors aux dents comme il y a 25 ans.


A l’époque il voulait mettre un grand coup de pied aux fesses d’une industrie cinématographique française détenue par des oligarques du 7ème art. Aujourd’hui il appartient à leur cercle et la donne a changé. Evolution "naturelle".


Le Luc Besson des années 2000 ne ressemble en rien au brillant cinéaste des années 80 et 90. Les "Léon" et "Nikita" sont bien loin. "Adèle Blanc-Sec" sera à coup sûr un succès au box office et lui fera gagner plein de pognon mais je crains que le metteur en scène se coupe d’une partie de son public.


Des personnes comme moi qui rêvent d’exubérance, de projets gonflés et pas d’une succession d’étrons sans nom produits par son usine à conneries.



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2 mai 2010 7 02 /05 /mai /2010 18:27

L'une des meilleures séquences du film de John Favreau.

 

 

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2 mai 2010 7 02 /05 /mai /2010 13:32

J'écoute en boucle la musique du film de James Cameron. J'adore littéralment le morceau "Jake's first flight" issu de "Avatar".


Divin James Horner.


 



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2 mai 2010 7 02 /05 /mai /2010 09:18

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