Stephen King au cinéma (2).

C'est la suite de la précédente chronique.

Pour Maximum Overdrive, c'est le maître lui-même qui s'est chargé de la réalisation.

Comments

[samominator c'est moi samom au fait]

la partie dans la pharmacie m'a vraiment fait flipper

par contre c'est le seul film que je ne souhaite plus revoir de mon existence
j'ai vraiment la fin dans le nez

:)

[Gally]

je comprends tout a fait ton point de vue  , c'est clair que la fin made in darabont est terrible et prend aux tripes , j'ai été bouleversée par cette conclusion d'autant plus que je ne m'y
attendais absolument pas tellement je pensais que le réal allait coller aux écrits du Maitre , remuée comme une crêpe la Gally avec grosse boule dans la gorge et énorme coup de coeur pour thomas
jane ....

[samominator c'est moi samom au fait]

je suis un éternel optimiste et j'aurai bien aimé une happy end
or parmi les morts à la fin il y a un gamin de 8 ans je crois
et forcément même si c'est du cinéma, ça a un écho particulier chez le père que je suis

humain quoi ;)

[Gally]

ha tiens et pourquoi t'as pas aimé la fin de the mist ?

[samominator]

salut toi
j'aime quand tu viens ici car je sais que tu en connais un rayon sur le maître
j'adore perso "Dead Zone" le film (pas lu) et "Shining" of course
j'adorerai voir "marche ou crève" qui est un serpent de mer dont on parle tous les deux ans
j'ai destété la fin de "The Mist". Darabont s'y connaît mais il a fusillé la fin

merci de ton passage