Cette chronique a presque trois ans et je la fais remonter car j'appréciais énormément Pete Postlethwaite. La vie est étrange car c'est quand les gens disparaissent que nous rendons compte à quel point ils nous manquent.
Il n'était qu'un infime rouage dans ce mécano diabolique, véritable long métrage phare du 7ème art mais sa composition de l'avocat Kobayashi était de celles qu'on oublient pas.
La séquence suivante est en anglais mais je ne suis pas prêt de me lasser de ce moment où la cheville ouvrière de Kaiser Söze met la main sur les cinq membres de la parade pour les mettre face à leurs responsabilités et surtout leur(s) dette(s).
Un régal.